Réflexions sur une situation inédite - 4 : Absurdités sanitaires et effondrement de la psychologie collective

Je ne peux plus m'arrêter d'écrire cet espèce de journal de mes réflexions contestataires sur cette gestion sanitaire, car je découvre tous les jours des informations importantes et intéressantes que j'ai envie de mettre en perspective. Aujourd'hui je voudrais axer ma réflexion sur deux principales sources que j'ai découvert depuis hier, qui sont un article dedefensa qui évoque les aspects psychologiques de la situation et surtout une interview absolument majeure du professeur Denis Rancourt que j'avais déjà cité dans mon tout premier article de la série.

http://seilenos.canalblog.com/archives/2020/07/16/38432935.html

Dans cette interview, c'est bien simple, presque chaque phrase est très importante et soulève des problèmes majeurs liés à la gestion sanitaire ou des informations très enrichissantes concernant la compréhension des pathogènes et des virus.

https://fr.sott.net/article/35921-Un-scientifique-canadien-brise-le-silence-sur-l-esbroufe-du-covid-19

Ainsi, dès le début, le professeur explique que la contagion de toutes les maladies virales hivernales dépend largement de l'humidité absolue de l'air.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Humidit%C3%A9_absolue

Il est alors important de comprendre la différence entre l'humidité absolue et l'humidité relative. Et plutôt que de me lancer dans de grandes explications, je préfère citer des liens où j'ai trouvé des explications simples à comprendre.

https://forums.infoclimat.fr/f/topic/15718-la-diff%C3%A9rence-entre-humidit%C3%A9-relative-et-humidit%C3%A9-absolue/

https://fr.wikipedia.org/wiki/Humidit%C3%A9_relative

Pour faire court, l'humidité absolue est la quantité d'eau contenue dans l'air, dont la capacité et la variabilité sont plus grandes par temps chaud, autrement dit, l'air chaud peut contenir plus d'humidité. L'humidité relative est la quantité d'eau dans l'air par rapport au maximum possible à une température et pression donnée.

Donc, l'humidité absolue tend à augmenter en été, ce qui est largement confirmé par l'hygromètre que j'ai acquis cet hiver, et qui exprime chaque jour de cet été une plus grande humidité de l'air, depuis que la température intérieure est passée d'environ 20 degrés à 25-30 degrés centigrades.

Contrairement à ce que beaucoup de gens croient et écrivent dans les commentaires de beaucoup d'article, par exemple celui cité sous ce paragraphe, l'humidité ne porte pas les virus, mais a au contraire tendance à les faire tomber, car l'eau est plus lourde que l'air...

https://www.les-crises.fr/diffusion-par-aerosol-du-sars-cov-2-une-menace-plus-grande-que-loms-ne-le-supposait/#comments

Sur les-crises.fr, donc, où beaucoup sont toujours interdits de commentaire (auparavant, ces articles suscitaient 3 ou 4 fois plus de commentaires), on en est encore à propager des informations alarmistes sans fondement scientifique, comme l'explique Denis Rancourt, puisque gouttelettes et aérosol ne sont pas du tout la même chose, premièrement, et que l'humidité joue plutôt en défaveur de la contagiosité qu'en faveur de celle-ci, contrairement à ce que tout le monde croit comprendre, sans quoi les maladies virales seraient plus courantes qu'elles ne le sont en été...

Par ailleurs, le professeur Rancourt soulève la question de la dangerosité potentielle des masques, point qui me faisait sourire jusqu'à il y a peu, et que je prends de plus en plus au sérieux. Ainsi on apprend que le port des masques dans la population générale était globalement non recommandé par les organisations sanitaires du monde entier, en raison du fait qu'en définitive, il n'est pas faux de dire qu'utiliser un masque requiert une certaine maîtrise, et que les masques comportent plusieurs risques pour la santé, que celui-ci explique. Un docteur de l'université de Genève évoque la question, lui aussi dans cette courte vidéo :

Vidéo youtube : Quels sont les risques associés au port du masque généralisé ?

On voit que ce n'est pas aussi simple que cela... et comme je l'ai déjà fait remarquer, la plupart des gens ne savent effectivement pas cela, et beaucoup ne savent déjà même pas le mettre... Il nous explique que les mesures de distanciation et d'hygiène demeurent bien plus importantes que le masque lui-même. Autrement dit, il apparaît de plus en plus clairement que le port du masque généralisé n'est pas une mesure dont le bénéfice apparaît significativement supérieur aux inconvénients et aux risques, pour le dire prudemment, presque par euphémisme...

Dernier point pour ce numéro, un excellent article de dedefensa que j'ai très envie de commenter.

https://www.dedefensa.org/article/rien-ne-sera-plus-comme-avant-bingo

Tout d'abord, il est vrai que depuis que je me suis pour ainsi dire « braqué » contre l'absurdité que je perçois dans les mesures – et dans lesquelles Denis Rancourt voit lui aussi une tentative d'habituation autoritaire en destination de la population – je suis plutôt très remonté, et que je ressens être affecté psychologiquement par ce qui se passe, je dirais même plus encore qu'à la période du confinement que je n'ai pas si mal vécu pour ma part, car je vois, à mon grand dam, que la psychose ne semble pas devoir se terminer, et continue même de s'étendre à travers les décisions récentes de durcir les mesures à travers le symbole damné qu'est ce fichu masque de la volonté de contrôle sur la population.

Je cite à présent quelques passages de l'article.

« Il y a désormais cinq mois que la crise Covid19 a atteint son régime de croisière en se révélant comme une pandémie mondiale d’une extrême gravité, – ou, dans tous les cas en étant perçue comme telle (...)

D’autre part, certains évaluations, certains pays, mettent en avant la possibilité, sinon la probabilité d’une “deuxième vague” dès le mois d’août.

La politisation de la pandémie est complète, elle est identifiée à des positions politiques générales, en politique intérieure comme en politique extérieure, et elle joue un rôle important et peut-être fondamental dans des événements politiques. La situation politique aux USA est exemplaire à cet égard. Covid19 est un facteur important dans plusieurs situations fondamentales

(...)

dans le fait que l’ensemble des effets sanitaires (psychologiques) et sur les libertés du Covid19 avec son confinement est jugée comme l’un des événements à la base de la situation de désordre et de tension sociale depuis le 25 mai (mort de George Floyd et mouvement Grande-Émeute2020) »

Plus bas, l'article parle longuement des conséquences sur la sphère industrielle, plus particulièrement les transports, l'aéronautique et le tourisme, puis revient sur l'aspect qui m'intéresse plus particulièrement sur la fin :

« Cette crise de l’industrie de prestige et de masse, de haute technologie et de surpuissance économique, le fleuron stratégique de l’arsenal de la postmodernité, mesure sans le moindre doute la formidable dimension du choc causé par Covid19. Ce choc est d’abord psychologique, avant tout autre aspect, comme on peut reconstituer la chose selon des références diverses. »

Je rejoins complètement ce constat que la « pandémie » a pour premiers effets des effets psychologiques. Sans vouloir minimiser les morts, qui comme le dit le professeur Rancourt, ne sont pas statistiquement plus nombreux que les décennies précédentes, l'esprit pragmatique oblige à remarquer que si un petit pourcentage de la population mondiale a été réellement affecté par la maladie elle-même, et une toute petite proportion en est morte, en revanche la totalité de la population mondiale est affectée par les conséquences sociales et psychologiques du phénomène, essentiellement non pas à cause de la gravité de la maladie ou de l'épidémie, qui n'a rien de particulièrement exceptionnelle lorsqu'on regarde les choses de manière posée et en comparant avec des situations du passé récent ou moins récent (lire la suite de l'article cité par rapport à ce point), mais à cause de la gestion absolument cataclysmique et démesurée dont cela a fait l'objet, et qui servira de base, peut-être, à la destruction de la civilisation globalisée.

C'est ici que Philippe Grasset, incontestablement plus sage et stoïque que je ne parviens à l'être, remarque qu'après tout, si tout ce délire et c'est emballement s'avère être l'étape finale de la crise d'effondrement du système, ce n'est peut-être pas un mal, et il fallait s'attendre de toute façon, à ce que ce ne soit pas nécessairement un bon moment à passer. Malheureusement je doute que cela se limite à porter des masques pendant quelques mois ou années et à moins voyager...

Une phrase de la suite de l'article retient particulièrement mon attention, puisqu'elle va dans le même sens que mon constat :

« Il faudrait étudier notre perception de la pandémie plus que la pandémie elle-même. »

Plus bas, l'auteur de l'article fait référence à cette phrase elle-même citée d'un article du Figaro.

« Évoquer la première pandémie “qui nous fait peur”, et ce « Il faudrait étudier notre perception de la pandémie plus que la pandémie elle-même... », ce sont des domaines de la psychologie. Pour cette raison, et sans nécessairement se référer aux innombrables complots qui ont aggravé la perception de l’épidémie jusqu’à l’hystérie, l’obsession et la panique, il y a une très-grande possibilité que Codiv19 pèse de tout son poids sur la situation du monde pendant bien plus que “des mois”, peut-être bien “quelques années” pour rester raisonnable, en attendant les pandémies suivantes qu’on nous prépare, selon Israël Shamir... Peu importe la véracité de cette prévision, sinon la confirmation que Covid19 est bien, d’abord, avant toute autre chose, une crise de l’effondrement de notre psychologie, entre simulacres, complots, postmodernité humanitariste, déstructuration environnementale due à la surpuissance du Système... Une crise de l’enfermement dans la GCES, où la psychologie ne parvient plus à envisager de revenir à “la normale” de l’ère postmoderne. »

Force est de constater qu'en effet, plus aucun retour à la normale ne semble raisonnablement possible, et dès lors, il faut s'habituer à l'idée de subir les débordements déraisonnables de ceux qui prétendent nous protéger et nous diriger alors que le principal de leur souci semble bien être la conservation du contrôle, voire l'accroissement de ce contrôle, alors que tout indique que celui-ci est en train de leur glisser des mains comme un mauvais savon qui serait lassé de servir de caution hygiéniste.

Voilà donc où j'en suis de mes observations de cette situation sans précédent que je compte bien continuer à décrire dans ses aspects les plus détestables qu'il convient de dénoncer. Mais je ne mets pas pour autant de côté les autres contenus du blog, j'ai bien toujours deux articles en attente sur la démarche de curiosité, que je ne sais pas trop quand je vais poster, mais je vais tâcher d'en poster un d'ici la fin du mois, pour ne pas faire que des textes focalisés sur les aspects négatifs du moment... puis ça me changera les idées de travailler sur autre chose que cette situation affreuse dans laquelle l'ineptie de nos gouvernements nous plonge, faisant monter d'un niveau encore la gradation de l'imbécillité pénible, inhumaine et inintelligente de notre époque insensée.