Gestion sanitaire : les choses vont trop loin
Bien sûr je ne me suis jamais illusionné sur l'efficacité de mon blog, avec mes quelques centaines de lecteurs, ni de celle des sites de « réinformation » ou d'information alternative, les réseaux sociaux qui soufflent le chaud et le froid, médias sociaux et blogs alternatifs aujourd'hui tout autant censurés et auto-censurés que les médias officiels, mais je ne pensais pas vivre une telle époque de retour à l'autoritarisme. Sans parler des faits divers concernant la brutalisation de travailleurs obligés de subir le masque toute la journée, pour certains depuis des mois, ou de toutes les tensions et autres agressions que le port du masque obligatoire engendre dans les commerces, les transports et les entreprises, et sans oublier que tout cela ne fera qu'empirer à la rentrée avec les masques à l'école et autres excès technocratiques outrageants pour quiconque contemple tout cela avec encore un peu de sens de la mesure, je vois que le conditionnement fonctionne encore aussi bien aujourd'hui qu'hier sur certaines parties de la population.
A propos de la censure :
Voir des enfants de 4 à 9 ans porter le masque dans les rues en plein été, obligés par leur grand-mère, parfaits relais du techno-pouvoir abrutissant, ou encore comme aujourd'hui, voir une femme apeurée entrer dans le laboratoire médical où tout le monde porte bien son masque y compris moi bien sûr, n'osant s'asseoir sur une chaise parce qu'il n'y a pas possibilité de prendre une chaise sur deux, et malgré le fait que les chaises soient espacées de presque un mètre... C'est hautement désolant. Elle a finalement pris une des dernières chaises disponibles et l'a tirée presque jusqu'au mur, comme dans la pub avec les transats, croyant ainsi sans doute maximiser ses chances de ne pas attraper ce virus qui a fait quelque chose comme 3 morts dans mon département depuis le début de l'été... Beaucoup de gens sont irrémédiablement traumatisés et maintenus dans la peur, alors que ce stress ne fait que fatiguer leur organisme, et ne les protège nullement, au contraire. Un virus qui peut être emporté de continent à continent par les vents tant il est une particule légère, se moque bien qu'on se trouve à un, deux ou trois mètres de distance.
Plus fort encore, dans le club de marche du coin, la distanciation varie suivant la vitesse de marche. Un mètre cinquante à 4 km/h, plusieurs mètres à partir de 5km/h. Les marcheurs devront donc varier leur espacement en fonction de la vitesse de marche (que personne ne sait vraiment mesurer, soyons honnête), qui est davantage modifiée par la pente que par l'effort fourni... à 4km/h en montée sèche, vous expulsez bien plus d'air qu'à 5,5 km/h en descente... Disons-le : tout ça n'a strictement aucun sens, ni bon sens, et me fait penser à cette vidéo :
Vidéo youtube : Nouvelles mesures de DISTANCIATION sur MESURE!
Mais tout ceci serait drôle si ce n'était pas particulièrement inquiétant, car aujourd'hui, un peu partout dans le monde, les mesures dites sanitaires commencent à vraiment dépasser les borgnes.
https://www.pinterest.fr/pin/554153929148683149/
https://www.paroles.net/coluche/paroles-jean-marie-le-pen
Poursuite de la stratégie de la peur
La stratégie de la peur, qui n'est autre qu'une stratégie de déresponsabilisation gouvernementale visant à rejeter sur les citoyens la faute d'un éventuel retour du virus, se poursuit sans faute.
Un délire tellement peu crédible que même un BHL n'arrive pas à trouver ça normal... Et même les journalistes de TV commencent à protester doucement contre l'éventualité de devoir porter des masques à la télé, se souciant, disent-ils, de l'image que cela renverrait de la France à l'international, comme s'ils ne voulaient pas, comme tout le monde, échapper à une contrainte physique dont ils savent bien qu'elle a très peu d'efficacité, et un sens presque purement symbolique. On ne les voit pas pour autant beaucoup prendre le parti de ceux qui subissent cette contrainte au jour le jour depuis des mois. Ainsi, l'arrestation musclée d'un employé de supermarché qui l'avait momentanément abaissé sous son nez car, dit-il, il ne peut pas respirer correctement en le portant 12h par jour... Il est vrai que, malgré ce que nous disent les cons-vaincus, même un dentiste ou un chirurgien ne le porte pas en permanence, mais le retire entre les interventions... On impose donc à tout un chacun une mesure que même le personnel médical n'est pas en situation de subir, dans l'immense majorité des cas, et je m'étonne que bien peu voient la mesure de l'absurdité et le danger de la chose.
Pendant qu'on agite toujours le fantôme de la deuxième vague, rien ne fait frémir la courbe de mortalité en France qui ne suit pas du tout la montée de la courbe des contaminations, en partie due à l'augmentation des tests, et qui correspond surtout, mais pas uniquement, à des plus jeunes qui se contaminent en vacances et en plein air.
Dérives inhumaines
Pendant que l'on matraque des gens et des familles désinformées qui devront trouver un moyen de contraindre leurs enfants à porter le masque au collège et au lycée, alors qu'un des effets démontrés scientifiquement en est la difficulté de concentration sur le long terme, des mesures qui vont du simplement liberticide au carrément inhumain se répandent dans divers pays à travers tous les continents.
En Allemagne, menace d'isoler les enfants positifs au Covid de leur famille, si les parents ne l'enferment pas dans une pièce pendant deux semaines :
https://www.nexus.fr/actualite/news/allemagne-enfants-isoles-covid-19/
En Australie, parmi d'autres mesures tout à fait discutables, la menace d'entrer sans mandat chez des gens qui seraient soupçonnés de ne pas avoir respecté les règles de confinement :
https://fr.sott.net/article/35999-Ceci-pourrait-bien-etre-notre-horoscope
Et ce alors qu'il y a très peu de morts dans ce pays, et que le pic épidémique est déjà passé, comme on peut le voir ici sur la 3e courbe :
https://www.worldometers.info/coronavirus/country/australia/
Dans le Maine, aux USA, on demande à certains professionnels de porter une espèce de visière collerette à la façon des animaux de compagnie ayant subi une opération chirurgicale, sous des prétextes absolument non-scientifiques :
Enfin, je ne sais pas ce que vous inspirent ces images venues de Thaïlande :
Beaucoup aujourd'hui semblent admirer la rigueur asiatique face à la menace virale, mais moi je ne peux pas m'empêcher de me dire qu'un virus qui a causé une cinquantaine de morts dans un tel pays ne devrait aucunement suffire à justifier pareilles aberrations, qui pour moi relèvent du scandale autoritaire au premier degré. Sous le prétexte de la protection de l'enfance, alors que quasiment aucun enfant à travers le monde n'est mort de ce virus, on justifie, par un mécanisme de chantage, l'enfermement dans des bulles de plastique de chaque enfant de ce pays, et on peut se demander qui, et quels autres pays, trouveront enviable et importable un tel « modèle » qui est profondément anti-social, anti-humain, et psychologiquement destructeur... On vante souvent les pays d'Asie pour leur mentalité éloignée de l'égoïsme et leur sens du groupe, mais en réalité, ce que je vois c'est que leur mentalité collectiviste les expose particulièrement à des maltraitances. Qu'on ne me dise pas que ces enfants sont satisfaits de cette situation. Ils sont seulement conditionnés à l'accepter, par des conditionnements psycho-sociaux, certes propres à l'Asie, mais qui sont en réalité généralisables dans un contexte dystopique tel que celui qui se développe actuellement : les orientaux et les occidentaux ne sont pas deux espèces séparées qui auraient des besoins physiologiques et psychologiques différents, que je sache.
Il est grand temps de réagir concrètement.
Dérive juridique autour du risque zéro
Je reprends ici en citation un extrait de l'article linké plus haut concernant l'alarmisme du ministère de la santé français, en mettant quelques passages en évidence :
« Après avoir dans un premier temps minimisé la pandémie de Covid-19 dans l'Hexagone, puis sous-estimé l'importance de diverses mesures, dont le port du masque, le gouvernement français privilégie désormais la logique sanitariste visant le risque zéro comme objectif de santé publique. Olivier Véran confirme cette stratégie gouvernementale dans cette interview, mettant ainsi en place une forme de contrôle social (confinement, mobilité réduite et contrainte, port du masque obligatoire dans les lieux clos mais aussi à l'extérieur, etc.).
Mais la stratégie à adopter face à un virus qui poursuit sa propagation à travers le monde ne fait pas l'unanimité. «Peut-on vraiment se donner pour objectif d'éteindre définitivement l'épidémie, d'éliminer le virus de la société ?», se sont par exemple demandés le professeur d'anthropologie à l’Université catholique de Louvain, Olivier Servais, et le chercheur qualifié du FNRS à l'Université de Liège, François Gemenne, dans un article publié le 15 août dans le quotidien belge Le Soir. Avant d'apporter leur réponse : «Nous sommes d'avis que les coûts sociaux de cette entreprise sont infiniment supérieurs aux bénéfices sanitaires que nous pourrions en escompter. Nous sommes d'avis que le risque zéro est une chimère destructrice, et qu'il faut nous résoudre à accepter que le virus continue à circuler dans la société, de façon minime et calculée.» »
Cela m'apparaît depuis déjà longtemps comme une évidence, et la déduction à tirer de tout cela est que, comme je l'avais dit récemment, ce qu'on pourrait appeler « le juridisme » est devenu un talon d'Achille majeur des sociétés modernes. Si, en réalité, les dirigeants veulent se couvrir juridiquement en prenant de telles mesures (cela semble aussi vrai en Thaïlande, pays où il y a très peu de cas et de décès, et où on ne peut donc pas dire que l'épidémie ait réellement menacé le pays), c'est que leur motivation est personnelle et égoïste, et non pas du tout dans le sens d'un bien commun. Ainsi, en prétendant vouloir protéger leurs concitoyens, ils souhaitent en fait se protéger eux-mêmes de conséquences juridiques, et en faisant cela, mettent en danger toute la société qui est à leur charge, incluant ses ressorts sociaux, économiques et humains, et causent eux-mêmes des ravages que l'épidémie n'aurait jamais pu accomplir, de près ou de loin. Il est crucial de comprendre cet aspect du problème, car cela met réellement en danger nos vies et nos sociétés, à terme. Si une dérive juridique peut causer un court-circuit de la société toute entière, dans le but non pas de protéger des vies, mais de protéger des gouvernants qui ne sont même pas élus pour la plupart, c'est que notre système, notre civilisation, est parvenue à la fin de son parcours. Il serait bon et juste que ceux qui instrumentalisent des principes juridiques pour mettre la société sous serre et sa population sous muselière (car le but serait peut-être aussi de dissuader des manifestations) voient ces abus se retourner contre eux. Puisqu'ils ne veulent pas qu'on les attaque pour n'avoir rien fait, il conviendrait de les attaquer pour en avoir fait bien trop ! Il est de notre responsabilité de prendre conscience de cette dérive et de ce que coûtera notre inaction et notre soumission face à ces excès qui vont engendrer des conséquences insondables.
Par ailleurs, les non élus qui font la loi ne sont pas seulement les ministres et les conseils scientifiques, mais aussi les préfets :
https://www.agoravox.fr/culture-loisirs/parodie/article/les-prefets-mettent-la-culture-a-226570
Conséquences des mesures
Résumons-nous. Nos décideurs détournent la justice à d'autres fins que ce à quoi elle doit servir. Cela n'est pas nouveau, depuis des années ils la réforment pour en faire un outil qui les sert, comme cela a été expliqué par des gens comme régis de Castelnau, lire ici par exemple :
Par ailleurs, on peut soupçonner que les mesures cachent d'autres intentions troubles, comme celle de dissuader des manifestations, ou encore de favoriser des orientations de santé publique favorable à certains acteurs de la médecine, en fonction de conflits d'intérêts de plus en plus évidents.
En regard de cela, ceux qui disent la vérité sur l'épidémie, qui pour le moment est terminée, et sur la politique de la peur propagée par des ignorants et des agitateurs motivés par des intérêts qui sont à éclaircir, sont, sans surprise, intimidés :
Des méthodes et slogans orwelliens sont mis en place :
https://fr.sott.net/pic-of-day/580467
https://www.dedefensa.org/article/dans-les-machoires-du-piege-covid
Il y a une mise en place d'une stratégie, dont on ne peut pas dire si elle est calculée et délibérée, ou si elle relève surtout d'une logique de couverture et de prudence avant tout judiciaire de la part des décideurs, mais qui en tout cas prend des proportions qui sont démesurées et qui n'est pas en adéquation avec l'intérêt du plus grand nombre, qui serait celui de maintenir un niveau de confiance et de sérénité, face à un danger qui pour le moment est tout à fait relatif voire hypothétique, pour l'immense majorité de la population. Ce choix stratégique implique tout un tas de conséquences, dont aucune n'est positive.
Ainsi de la famine mondiale qui s'annonce pire que jamais à cause de la disproportion des réactions dans le monde :
Et de toutes sortes d'autres conséquences autour de l'emploi, de la sécurité sociale, de la santé concernant les autres maladies, des handicaps et pathologies psychiques, du suicide et de toutes sortes d'autres choses, tout cela laissé encore largement à notre imagination, car ces conséquences restent pour la plupart à découvrir et à mesurer.
https://fr.sott.net/article/36001-La-tentative-de-coup-d-Etat-de-2020
Certains vont jusqu'à se demander si ce que nous subissant peut se comparer à de la torture :
Vidéo youtube : The Questions That Everyone Asks - Amazing Polly
En lisant certaines choses, j'ai fini par penser en tout cas que cela ressemble fort au Syndrome dit de Munchausen :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Syndrome_de_M%C3%BCnchhausen_par_procuration
En effet, cette manie de vouloir se persuader et persuader les autres que l'épidémie est absolument terrible quand elle tue essentiellement des gens en mauvaise santé, et alors qu'elle tue moins de jeunes que la grippe (le saviez-vous ?), et de continuer à insister sur l'augmentation des cas, alors qu'elle relève de la sur-attention que l'on pose dessus, et en feignant de ne pas remarquer que cela concerne une immense majorité de gens asymptomatiques comme avec n'importe quel rhume (et tant pis si cette comparaison choque après tout ce qu'on a entendu, il faut savoir rétablir la juste proportion des choses) fait fortement penser à une espèce de syndrome psychique qui empêche les gens, captifs de leur anxiété et de leurs conditionnements, de s'apercevoir qu'il n'y a, en fait, pas plus de danger que les années précédentes, avec cette « pandémie ». Encore une fois, il faut préciser : je ne nie pas la dangerosité de cette maladie, je dis que c'en est une parmi d'autres, qui tuent aussi, et pour lesquelles jamais on n'a vu un fragment de la psychose de masse à laquelle on assiste désormais (et qui semble enfler en même temps que l'épidémie diminue car on nous raconte le contraire), et qui menace véritablement de mettre les plus anxieux à plat. Je repense à cette pauvre dame, au laboratoire, totalement sous l'emprise des manipulations politico-médiatiques, qui pourrait tout à fait ressembler à un cas d'emprise du syndrome de Munchausen, mais je pense aussi à tous les élèves qui vont la semaine prochaine entrer en 6e avec le masque comme aggravateur de leur stress, alors que c'est déjà une étape difficile de la scolarité. Je pense à tous les anxieux en général, maintenus dans la peur et dans l'incapacité de se réinformer, car ils n'en ont pas tout le temps, la volonté ou la compétence, et qui sont donc des jouets dans les griffes d'une politique perverse et inversée.
Donc je ne sais pas si tout cela peut être assimilé à de la torture, mais c'est en tout cas une maltraitance de masse qui est assez horrifiante pour tout esprit conscient.
Je tiens à terminer sur une note plus positive, en rappelant par ce texte pourquoi la beauté est importante, alors que cette gestion sanitaire démente (crise politique maquillée en crise sanitaire) rajoute de la laideur au monde :
https://fr.sott.net/article/36009-Pourquoi-la-beaute-est-importante
Car l'une des entreprises de ce blog a toujours été de dénoncer la laideur et la bêtise, au fond, pour tous nous encourager à reprendre le sentier de la beauté, de l'esprit et de l'intelligence. Je me dis que ce que nous vivons n'est qu'un cauchemar, et que l'on finit forcément par s'éveiller de tout cauchemar. Cela passera, car ne croyez pas que la vie obéisse à des lois si distinctes de celles du rêve, et l'humain reste fondamentalement dirigé par ses rêves.
Mais cela ne passera pas tout seul. Il faut agir à son niveau, planter des graines, conscientiser, infuser la beauté et l'esprit dans le monde, ne pas se laisser diriger par sa colère et envahir par notre négativité latente, mais savoir les utiliser positivement comme des sources d'énergie, de mouvement, qui font naturellement leur œuvre face à l'arbitraire, le stupide, l'inepte et le laid. Je le crois profondément. L'humain ne peut pas éternellement vivre dans le nauséeux et le pourri, et il trouve toujours la force de retrouver le sens correct des choses et de la vie. Ce qui n'empêche pas que nous devions encore en passer par des phases difficiles, d'autant que je pense que cette psychose a toutes les chances de durer au moins jusqu'au printemps prochain. Préparons-nous à cela, et protégeons-nous autant que possible de tout ce que cela implique, pour en sortir plus grands, et non pas plus esclaves...
Pour terminer, un exemple parmi d'autres de propositions pour agir et résister de manière soft. Je ne rejoins pas du tout le propos sur « Q », mais tout ce qui va dans le sens de protester ou tourner en dérision ce qui se passe est bon à entendre, au minimum.
Vidéo youtube : C'est le moment de passer à l'action
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