Pourquoi je suis opposé aux mesures sanitaires actuelles ?
Le texte présent se terminera par un répertoire d'articles, de vidéos et de ressources trouvées récemment sur le net. J'ai l'impression d'avoir déjà dit l'essentiel plusieurs fois, mais puisque les choses continuent, je me sens obligé de poursuivre afin de tenir mes lecteurs informés des faits qui n'arrivent pas forcément jusqu'à eux s'ils s'informent essentiellement par les biais officiels, sans passer par les moyens alternatifs que je relaie habituellement ici, et je sais que c'est le cas de quelques uns. Je voulais proposer des choses plus rafraîchissantes sur le blog, sur d'autres sujets, mais en fin de compte j'ai mis ça un peu de côté, et l'urgence me semble être de lutter contre l'ingénierie sociale en cours, tant que je suis en mesure de le faire, car ma conscience ne peut pas accepter la passivité face à des faits d'une extrême gravité pour l'avenir de tous.
Pourquoi donc je suis opposé aux mesures sanitaires actuelles ? Parce qu'elles sont excessives, parce que l'épidémie n'est pas grave, parce qu'elles constituent un épisode majeur d'ingénierie sociale prenant la trajectoire de la dystopie, et parce qu'elles imposent dors et déjà une véritable torture morale parfaitement inutile. Aussi parce que leur effet bénéfice-risque est négatif, et qu'elles causeront beaucoup plus de dégâts qu'elles ne permettront d'en éviter.
En préambule, je dois préciser : je ne suis pas opposé par principe à des mesures sanitaires, et je ne fais pas partie de ceux qui croient que l'épidémie est terminée, qu'elle ne cause aucun mort, aucune souffrance, bref je ne suis pas dans le déni de cette nouvelle maladie. Je constate par contre qu'il n'y a aucune surmortalité notable cette année, et qu'en regard de ce simple constat, cette maladie devrait être considérée, en toute rationalité, comme toutes les autres maladies contagieuses déjà connues. Je pense que, sur un côté positif, cette crise nous aura rappelé que certaines mesures ont une certaine efficacité pour éviter de contaminer les autres, que ce soit à la grippe, le covid-19 ou d'autres maladies, mais qu'en revanche, nous sommes allés beaucoup trop loin dans ces mesures, dans une psychose collective assortie d'une hypocondrie de masse qui ne sera que l'une des nombreuses conséquences traumatiques inutiles causées par l'emballement médiatique hallucinant dont la maladie aura fait l'objet.
L'épidémie n'est pas grave et les mesures sont excessives
Les faits sont là. La maladie tue aujourd'hui en moyenne des personnes autour de 80-85 ans, ayant souvent des comorbidités et une fragilité due à l'âge, qui seraient mortes de toute façon de cette cause ou d'une autre, la même année ou l'une des années suivantes. Non qu'il faille s'en réjouir en soi, mais c'est plutôt une chose rassurante que cette maladie ne tue pas – contrairement à beaucoup de maladies respiratoires – de très jeunes enfants, des jeunes sportifs ou des personnes dans la force de l'âge, ou seulement dans des cas très exceptionnels, qui ont très souvent été montés en épingle dans les médias, alors que la grippe, elle, tue davantage de personnes moins âgées, sans que cela ne provoque de délire alarmiste dans les médias. Ces autres maladies sont-elles acceptées parce qu'elles sont connues, alors que le covid-19 est nouveau ? Mais la nouveauté ne justifie pas que l'on reste éternellement perché sur un nuage à propos de la dangerosité supposée d'une maladie, dont nous savons depuis déjà plusieurs mois qu'elle est en fait relativement modérée dans la plupart des cas – je ne nie pas les formes longues, invalidantes, ni les formes plus sévères qui existent, qui sont une réalité, ni les séquelles possibles, mais ne sont pas la norme de cette épidémie. Le fait est que cette maladie a été récemment ramenée à une létalité vraiment très proche de celle de la grippe, proche de 0,3%, comme j'en faisais déjà l'estimation à la période du confinement... Nous avons acquis cette connaissance, mais n'en tenons aucun compte. Pourquoi ? Certainement parce que cela n'est pas répété en boucle dans les médias, contrairement à tous les éléments potentiellement anxiogènes...
Cette épidémie n'a causé jusqu'à présent aucune surmortalité notable à l'échelle de la planète, c'est simplement une nouvelle cause de mortalité qui s'ajoute à bien d'autres, dont on ne fait pas grand cas. Actuellement, l'épidémie stagne à l'échelle planétaire, et semble être arrivée à un plafond après avoir contaminé des populations dites « naïves » par rapport à cette nouvelle maladie, et si je n'irai pas jusqu'à dire comme certains que l'épidémie est terminée, car l'hiver boréal pourrait encore causer une remontée, il y a fort à parier que tout reviendra dans des proportions tout à fait raisonnables en 2021, bien que certaines instances de santé et certains gouvernements s'ingénient à prétendre que cela durera des années et qu'il faut s'habituer à cette nouvelle normalité.
En fait, l'épidémie n'est pas grave, et je suis certain que si nous n'avions pas les médias pour nous exciter sur cette nouvelle maladie, nous n'aurions même pas remarqué son apparition, comme cela fut le cas avec certaines épidémies de grippe particulièrement virulentes, n'ayant été détectées qu'après, dans les chiffres. En fait, c'est notre capacité technologique de détection qui nous affole, rien de plus... Certains prétendent bien sûr que ce sont les mesures dites barrière qui auront permis de limiter les conséquences de cette maladie, mais j'en suis tout sauf convaincu. Bien sûr, cela a pu avoir un effet marginal, et les personnes particulièrement prudentes et rigoureuses auront peut-être pu se prémunir de la maladie (pour le moment), mais rien ne le prouve, aucune étude ne venant valider l'efficacité ou la pertinence de ces mesures pour venir contredire ce qui avait toujours prévalu en matière de santé publique, notamment l'inutilité du masque en population générale, où les protocoles d'utilisation ne sont pas praticables, d'autant que personne n'y est formé, même si c'était le cas. Nous découvrons en fait plutôt que la généralisation des masques se présente plutôt comme une absurdité, au moins en milieu extérieur ou comme utilisation permanente, plutôt que seulement dans les lieux à risques. Le lavage des mains et le fait d'éviter de s'embrasser et de se toucher constamment me semblent être les seules mesures convaincantes, mais finalement c'était déjà un bon sens, certes oublié, mais déjà connu bien avant cette pandémie. Par ailleurs, il me semble de toute façon illusoire de prétendre arrêter totalement la propagation d'une maladie virale, qui est un phénomène chaotique et invisible incontrôlable. Certains pays d'Asie semblent certes y être parvenus, mais grâce à des mesures encore beaucoup plus excessives, et que sait-on de la part de chance qui a prévalu dans ces situations ? On peut toutefois admettre que ces pays sont beaucoup plus pertinents que nous dans leurs mesures, sans toujours être forcément excessifs, de par leur expérience et un certain état d'esprit tourné vers la discipline, mais gardons nous d'idéaliser des populations qui ont simplement une autre culture, pas forcément transposable.
Le vrai problème qui se pose est qu'on nous impose des mesures avec une dimension coercitive et contraignante depuis le milieu de l'été, alors que l'épidémie était encore réellement au plus bas. Même les contempteurs de l'alarmisme admettaient que les indicateurs étaient bons. C'est le moment qu'on a choisi pour imposer le masque plus ou moins partout y compris en extérieur dans certaines villes ou régions estimées à risque, alors qu'on y mesurait seulement un taux d'incidence plus élevé alors du à l'augmentation des tests, comme cela a été démontré dans cet article par exemple :
https://www.agoravox.fr/actualites/technologies/article/theorie-alternative-un-virus-et-226640
L'auteur prédisait que si l'on suivait les conclusions gouvernementales, on devrait arriver d'ici la semaine prochaine à près de 800 réanimations, or nous sommes autour de 450, et tout indique qu'on ne dépassera guère 500. Ceci permet de comprendre que la maladie est réellement devenue moins virulente, comme c'est très souvent le cas des maladies virales nouvelles, comme le savent les épidémiologistes.
On peut dès lors constater que cette imposition du masque n'a eu aucune efficacité, puisque les indicateurs épidémiques ont commencé à se dégrader trois semaines plus tard, n'en déplaisent aux tenants de l'efficacité et de la nécessité de ces mesures, comme sur les-crises, site devenu véritable site de propagande épidémique alarmiste, qui a toutefois eu le mérite de produire ce graphique qui nous montre l'ampleur de la « seconde vague » en cours en France :
https://www.les-crises.fr/wp-content/uploads/2020/09/26-cas-estimes-covid-france-07.jpg
Notons que ce graphique ne porte que sur les cas, et que s'il indiquait le nombre de décès, la courbe resterait en revanche presque rigoureusement plate, puisqu'en dépit d'une montée des indicateurs depuis plusieurs semaines, on ne meurt pas plus aujourd'hui qu'en juillet de cette épidémie.
Notons aussi qu'une telle « seconde vague » a déjà eu lieu en Belgique, en Allemagne, en Suisse et dans divers autres pays, et que dans tous ces pays, le pic est déjà passé, sans avoir donné lieu à un pic de mortalité. Seule l'Espagne montre une montée vraiment notable, mais même en Espagne, il n'y a pas non plus de véritable pic de mortalité remarquable. Encore une fois, on nous excite donc pour rien... Tout ce qui arrive, ce sont des fluctuations d'une maladie qui s'est installée sur la planète, qui fatalement doit faire ses dégâts, et à laquelle nous avons désormais une sur-attention traumatique, due à la peur imprimée dans les esprits par les médias. Nous constaterions la même chose si nous suivions en détails la grippe, qui elle aussi peut provoquer un engorgement des hôpitaux.
Les mesures sanitaires servent de prétexte à une opération d'ingénierie sociale de masse
Chacun peut croire, s'il veut, à l'honnêteté et à la bienveillance de nos dirigeants. Je crois plutôt qu'ils cherchent à se couvrir juridiquement, avec comme bénéfice secondaire l'avantage de décourager et sanctionner les manifestations. De larges manifestations ont d'ailleurs encore eu lieu dans différents pays comme l'Allemagne, le Québec ou l'Angleterre et la Pologne, sans être particulièrement relevés dans les médias, ou bien en pratiquant la disqualification en traitant ces manifestants d'irresponsables, de complotistes ou même encore de « pro-nazis », manière détournée pour ne pas les traiter ouvertement de nazis...
En taisant les aspects rassurants et en mentionnant en boucle tous les aspects anxiogènes, les médias produisent du scoop et du sensationnel pour vendre, se comportant comme de vulgaires sangsues sur le dos des faits alarmants pour en tirer du sang et de l'argent, suçant la moelle des peuples en les plongeant dans un stress et une anxiété dont les gouvernements se serviront ensuite à leur avantage. Dans cette crise, les médias se sont une énième fois révélés comme de véritables nuisibles causant essentiellement du tort. Des parasites se nourrissant des angoisses de la société, et nourrissant ces angoisses en retour, pour amplifier leur portée et s'en servir encore après, dans une dangereuse boucle de rétroaction, cercle vicieux auto alimenté qui devrait logiquement finir par les faire exploser dans un bouquet final d'absurdités alarmistes qui finiront par devenir trop énormes pour être encore crédibles, même par des populations traumatisées et terrifiées par ce nouveau terrorisme naturel qu'est la pandémie.
En agitant ainsi les peurs, les médias ouvrent la voie vers les Raoult tenant un discours parfois caricaturalement rassurant, mais beaucoup plus proche de la réalité que le délire médiatique, et donc beaucoup plus crédible par effet de contraste. Ils se rendent aussi coupables en réalité de la montée du complotisme, poussé dans le dos par cette nécessité à retrouver du sens et de la vérité derrière les discours illusoires et anxiogènes perçus comme mensongers et cachant potentiellement des intentions sombres comme un nouvel ordre mondial sanitaire et économique, une vaccination forcée sur fond de 5G et de techno-contrôle par le biais des téléphones, des nano-technologies et de l'électronique, discours d'autant plus en roue libre que rien ne permet en effet de prouver formellement que ces théories sont fausses, et qu'il est en revanche toujours possible de trouver des indices de ces intentions dans les discours, les pratiques et les documents des « élites ». L'ingérence dans la santé mondiale de figures comme Bill Gates devraient par exemple laisser au moins dubitatif tout véritable esprit critique qui se respecte. Qu'est-ce que cet informaticien avide de fric, philanthrope supposé, principal financeur de l'OMS, vient faire dans cette galère à nous dire ce qu'on devra accepter dans le futur, selon lui et les pions qu'il fait avancer sur l'échiquier mondial où il semble pouvoir en effet tirer un énorme profit de tout cela ? Que n'interdit-on pas de telles velléités et de telles ingérences ? La santé mondiale semble devenue pour de bon un simple marché pour charlatans en tous genres, considérés par les scientistes comme de véritables autorités... Monde à l'envers...
Il est donc légitime de se demander si tout cela n'est pas, à tout le moins, un exercice grandeur nature de soumission des masses, de contrôle social abusif en profitant des dérogations à la constitution devenues possibles, notamment en France, de par l'état d'urgence sanitaire dont on peut douter, comme pour l'état d'urgence contre le terrorisme, qu'il ne devienne pas permanent... actant ainsi la fin de la démocratie ou de ce qu'il en restait encore. Interdictions de manifester, interdiction d'exercer son droit de refuser des soins, d'exercer son libre arbitre, interdiction de prescrire librement, interdiction de circuler librement, etc.
Les mesures sanitaires imposent sur les populations une véritable torture morale parfaitement inutile
Certains trouveront cette allégation exagérée et pourtant, l'esprit humain est quelque chose de fragile et de malléable sur quoi l'on peut assez facilement exercer une pression permettant de le réformer, de le formater et de le reconditionner, c'est une chose bien connue en psychologie-sociale, discipline aujourd'hui largement utilisée pour perfectionner les techniques de contrôle et d'ingénierie sociale par des voies plus soft que la dictature ouverte.
En fait, le conditionnement des esprits est devenu l'obsession des gouvernements pseudo-démocratiques actuels, exercice constant, jamais relâché, de contrôle des masses par la manipulation à grande échelle des émotions, des espoirs, des angoisses, des instincts et des élans humains. Certains de ces élans sont à encourager et d'autres à sanctionner par le bâton et l'amende, afin de diriger le troupeau dans la direction choisie.
Au besoin, on peut parfaitement utiliser les conclusions de l'expérience de Milgram pour orienter la société. 1984 ou le Meilleur des mondes peuvent parfaitement servir de manuel de coercition douce des populations, et c'est ce qui se passe. Les travaux de Bernays, de Le Bon, sont aujourd'hui les textes qui guident la fabrication du consentement des populations, ne vous faites aucune illusion à ce sujet : les découvertes humaines sont toujours d'abord utilisées dans une perspective militaire ou de pouvoir, bien avant de servir à l'éclairement général... qui viendra peut-être après, quand on aurait appris à les déjouer... espérons-le.
En tout cas, j'ai pu constater en moi et chez un certain nombre de personnes autour de moi qu'il y avait aujourd'hui une véritable souffrance morale et parfois physique subies à cause des mesures absurdes imposées, vécues comme un arbitraire incohérent et tortionnaire voire pervers. Cela causera immanquablement des dégâts moraux insondables, alors que la dissonance cognitive gonfle entre la perception de plus en plus prégnante d'une maladie modérée et d'une épidémie sans gravité réelle si on la compare aux autres maladies et si on rappelle que les chiffres sont gonflés (là aussi, pour quelles raisons ?), et des politiques publiques qui correspondent presque de leur côté à la gestion d'une peste des temps modernes, avec une recherche absurde et délirante d'un risque zéro impossible à atteindre.
Les mesures causeront plus de dégâts qu'elles n'en auront évité
C'est aujourd'hui un truisme accepté même par ceux qui promeuvent ces mesures qu'ils prétendent pourtant nécessaires. Sous je ne sais quel prétexte, il serait donc nécessaire d'ajouter aux dégâts de la pandémie des dégâts économiques, sociaux et humains dantesques, impossibles à mesurer, suscitant des relances et des remboursements à coup de centaines de milliards sortis d'on ne sait quels poches ou cornes d'abondance imaginaires. Tout cela aura un prix, qu'on se le dise, et ce malgré le fait qu'en fin de compte, nous sommes en face d'une énième sorte de grippe... La disproportion entre les mesures et la réalité ne peut être que criante pour quiconque a simplement les yeux en face des trous, mais apparemment, suivant une conception elle aussi pathologique d'un point de psychique, il ne faudrait aujourd'hui plus accepter qu'une nouvelle maladie puisse encore faire des morts. Certains s'illusionnent sur la capacité de l'humain à supprimer une maladie qui circulent sur tous les continents... Cette maladie disparaîtra d'elle-même ou bien elle restera, tout ce qu'on peut raisonnablement faire c'est de modérer ses conséquences par des mesures proportionnées qui éviteraient des morts inutiles sans détruire la société autour, qui elle pourvoit à nos besoins en nourriture notamment, mais aussi à tous nos autres besoins humains, même si c'est imparfaitement. Notamment, cette société permet que nous ayons un système de soin permettant de lutter contre des maladies et des épidémies, et qu'il est donc totalement fou de risquer de mettre à plat sous prétexte d'une pandémie. Lorsque je pense à cela, je ne peux décemment pas voir l'être humain comme une espèce réellement intelligente et rationnelle... Nous vivons encore avec des superstitions de notre temps, des irrationnels qui me semblent largement prédominer, et notamment des attitudes excessives qui consistent souvent à scier notre branche, tout simplement...
Conclusion : Nous devons intégrer la mort dans notre équation de la vie
Si nous sommes incapables de comprendre que face à cette épidémie, notre réaction a été et continue d'être excessive et contre-productive, que cette surréaction provoque en soi des dégâts, et sert de prétexte à une ingénierie sociale conduite sous la forme d'une torture morale visant à réformer les esprits, nous nous préparons une société insupportable et inhumaine.
Nous avons besoin de réintégrer la mort dans notre perception et notre équation du vivant. Sans la mort, la vie n'est rien, et comme conclusion, je n'ai rien trouvé de meilleur que ce texte et la citation mise en avant :
« L'éventualité de la mort est intégrée à ma vie ; regarder la mort en face et l'accepter comme partie intégrante de la vie, c'est élargir cette vie. A l'inverse, sacrifier dès maintenant à la mort un morceau de cette vie, par peur de la mort et refus de l'accepter, c'est le meilleur moyen de ne garder qu'un pauvre petit bout de vie mutilée, méritant à peine le nom de vie. Cela semble un paradoxe : en excluant la mort de sa vie, on se prive d'une vie complète, et en l'accueillant on élargit et on enrichit sa vie. »
http://temporel.fr/A-propos-d-Etty-Hillesum
Textes, vidéos, ressources
Je ne peux pas terminer cet article sans citer un certain nombre de liens qui ont nourri mes réflexions quant à cette crise. Nous vivons aujourd'hui probablement un tournant dans l'histoire de l'humanité, et il est plus important que jamais de prêter attention à ce qu'il se passe. Si je continue d'écrire sur ce sujet, c'est tout naturellement car après 12 ans de blog sur le thème de la société, du conditionnement des masses et des esprits, il serait absurde que je cesse à présent de regarder ce qu'il se passe alors que nous sommes devant un exemple historique de ceci.
Sur l'ingénierie sociale :
Sur le traitement médiatique de l'épidémie :
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/cessez-de-nous-emmerder-et-ecoutez-226577
Sur la dystopie qui se construit sous nos yeux :
Vidéo youtube : Du sociétal au carcéral : le port du masque
https://www.generationlibre.eu/observatoire-des-libertes-confinees/
Note : certaines régions continuent de prôner le masque pour les rapports amoureux. Vous avez envie de ce monde, sérieusement ?
https://fr.sott.net/article/36026-Dans-les-replis-du-cur-ou-la-France-soumise
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-pere-noel-et-les-masques-226713
Sur les mesures sanitaires, leur absurdité et leurs effets délétères :
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/refuser-legalement-un-vaccin-226548
Vidéo youtube : Une Sage-Femme, des masques et des vaccins ; Les bébés du confinement...
Note : intéressant avec quelques observations sur les bébés qui auraient un comportement différent, parmi les conséquences insoupçonnées d'un monde masqué pour une espèce ayant besoin de rapports sociaux, de communication, et où l'apprentissage de la vie ou dans les écoles pose des problèmes bien particuliers.
https://laveritesansmasque.blogspot.com/2020/08/lorsque-les-chirurgiens-lors-des.html?m=1
Note : je n'ai pas pris la peine de vérifier les sources, mais on peut rechercher celles-ci. Si ces données sont justes, c'est simplement une pierre de plus dans le jardin de l'inutilité voire de la dangerosité relative des masques. Et d'ailleurs, à ce propos :
Vidéo youtube : Une étudiante refuse le masque
Vidéo youtube : AU COLLEGE, UNE ENFANT EST ENVOYÉE AUX TOILETTES POUR POUVOIR RESPIRER
Note : Ayant mal vécu ma scolarité et étant migraineux, je suis particulièrement sensible sur ces deux dernières vidéo, compatissant à ces élèves qui doivent cette contrainte beaucoup plus affreuse que ce qu'imaginent ceux qui le portent seulement pour faire leurs courses. Honnêtement, cela m'horrifie et me scandalise, car je sais que je n'aurais tout simplement pas pu suivre ma scolarité dans ces conditions... Je pense donc fort à cette génération de collégiens et de lycéens qui doivent subir cela... Par ailleurs, le témoignage de cette mère qui dénonce le comportement du personnel et des parents passifs est une illustration parfaite de l'état agentique décrit dans la fameuse expérience de Milgram, dont nous vivons en fait une expérimentation grandeur nature aujourd'hui. Rappel de cette expérience ici :
Vidéo youtube : Soumission à l'autorité médiatique
Dernier lien utile, une chaîne sur l'intelligence émotionnelle et ici la façon de gérer cette période sur le plan humain et émotionnel. On notera qu'il y est question de CNV à certains moments, que j'avais critiqué dans un article précédent. Notons donc encore que la CNV est simplement un outil qui peut être bien ou mal utilisé, soit pour des relations plus harmonieuses, soit pour violenter les autres par une forme de perverse de conditionnement. J'ai reçu des témoignages qui confirment mes craintes à ce sujet depuis la publication de cet article, mais je ne considère pas du tout la CNV comme néfaste en soi, mais seulement lorsqu'elle est mal utilisée. Je maintiens en revanche qu'elle contient une dose d'auto-violence, et que ce n'est ni une panacée, ni un outil que tout le monde est apte à utiliser, encore moins en toute circonstance.
Vidéo youtube : Etre un Guerrier Pacifique face à la folie dangereuse du Covid
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