Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
L'Oeil du Selen
Archives
11 septembre 2020

Contaminations croisées et vague de peur

 

J'ai appris qu'il y avait un cas de covid dans le personnel de l'école primaire voisine, où vont, je crois, les enfants de mes voisins. La personne a été écartée pour quarantaine, mais je suis bien conscient que la maladie pourrait se retrouver dans mon immeuble et chez moi à tout moment. J'ai pris la peine de réfléchir à cette situation et à cette éventualité, et je n'ai pas peur.

 

Il faut être conscient que la raison pour laquelle la psychose actuelle se répand si bien, c'est qu'elle est maintenue en permanence, matraquée, rappelée à la moindre occasion par les médias, de sorte que la peur est constamment réactivée et le danger perçu avec exagération du fait du fonctionnement de notre système limbique.

 

En temps normal, la grippe, ou n'importe quelle maladie infectieuse grave, pourrait tout aussi bien se trouver à mes portes, simplement je n'en saurais rien, et je n'aurais aucun moyen d'avoir peur, à moins d'être naturellement dans un état de paranoïa hypocondriaque. C'est dans cet état que nous sommes aujourd'hui collectivement, pour une maladie tout à fait comparable à la grippe, dont toutes les données démontrent que sa létalité est à peine différente, tout comme ses conséquences. Sans nier les cas sérieux, il faut rappeler que la grippe, elle aussi, cause parfois des complications terribles, des morts par faillite de certains organes. On m'a par exemple récemment relaté un ancien décès par complication par hépatite due à la grippe, alors qu'on n'a cessé de prétendre que le covid était cette maladie si spéciale pouvant toucher d'autres organes, et ainsi inquiéter toutes sortes de gens ayant des faiblesses rénales, hépatiques, neurologiques ou autres, alors que le risque existe aussi pour beaucoup d'autres infections courantes...

 

Si nous ne parvenons pas à percevoir cela, et ainsi à faire redescendre l'angoisse, c'est d'abord parce que nous sommes désinformés à ce sujet, et c'est aussi parce que nous sommes constamment exposés à des "informations" diverses et variées qui ne cessent de nous rappeler que la mort est à nos portes, et ce sous différents visages, invisibles qui plus est, permettant ainsi d'exacerber le ressort de l'imagination pour susciter des fantasmes morbides.

 

Si nous savions que la grippe est, elle aussi, dangereuse, nous nous inquiéterions aussi, du moins si on ne cessait de nous matraquer le cerveau à chaque fois qu'il y a 20 cas dans notre région, dont 4 ou 5 en réanimation... C'est pourtant une chose qui se passe toutes les années, dont on ne nous parle jamais, en tout cas pas sur le mode que l'on emploie pour le covid. Du coup, quand nous entendons parler de la grippe, chaque année, nous haussons les épaules en espérant simplement ne pas l'attraper, et nous vivons normalement.

 

Si notre état émotionnel actuel était supporté par quelque chose de vraiment rationnel, nous devrions en toute rigueur développer la même paranoïa vis à vis de la grippe qui, rappelons-le, a davantage de potentiel que le covid pour tuer des personnes de moins de 50 ans, y compris des enfants... Mais lorsque la grippe circule, vous n'en entendez parler que comme une rumeur lointaine, et tout le monde ne passe son temps à savoir s'il existe un ou des cas dans son cercle proche ou élargi. Si vous apprenez que quelqu'un de votre famille l'a, vous haussez les épaules, transmettez vos vœux de rétablissement et songez que dans deux semaines, vous passerez le prochain repas de famille avec le malade, sans inquiétude particulière. Si vous apprenez la même chose concernant le covid, vous vous demandez immédiatement s'il va mourir, alors que les probabilités sont similaires, s'il va "tuer" un vieux de la famille, alors qu'on était déjà attentifs en cas de grippe, s'il va être placé en quarantaine forcée, alors que ça ne viendrait à l'idée de personne concernant la grippe (avec laquelle il est toujours très malvenu, j'imagine, de comparer la nouvelle peste des temps moderne qu'est le covid).

 

Une fois que la peur est ainsi installée et maintenue, l'anxiété devient une sorte d'entité autonome qui nous pilote, a fortiori les moins conscients d'entre nous. Et lorsque le danger est parti, l'anxiété, elle, continue d'exister, et il suffit alors d'appuyer sur tel ou tel bouton, tel déclencheur, pour maintenir le système limbique en action, et forcer l'anxiété à s'activer. Cela se fait, toujours et encore, par le biais des médias. Les incantations comme "deuxième vague", les injonctions comme "protégez les autres" deviennent des déclencheurs de ce réflexe de Pavlov qui consiste à se conformer à la nouvelle norme. Et puisque l'anxiété vit sa propre vie, même si l'épidémie s'arrêtait – ce qui a été le cas selon les critères qui prévalaient avant cette crise – elle continuerait de chercher pourquoi elle existe. Elle s'alimentera donc de tout ce qu'elle trouve. La menace de la 2e vague est un parfait épouvantail pour cette entité, mais des tas d'autres choses pourraient faire l'affaire. Il serait théoriquement possible, si cela était bien orchestré, d'employer la grippe pour supplanter le covid, à un moment ou à un autre, par exemple en agitant la menace d'une nouvelle souche particulièrement agressive, et certains n'hésitent d'ailleurs pas à faire ce lien, en supposant que la grippe a pu s'ajouter au covid dans la mortalité cette année, ce qui n'est pas impossible, surtout lorsqu'on constate que des tests sont aujourd'hui fabriqués pour différencier les deux maladies, ce qui laisse tout de même supposer qu'on n'est donc pas capables de le faire à ce jour... Et bien sûr, ces théories alimentent aussi la peur, puisqu'aujourd'hui la peur ne se limite pas à la pandémie, mais se porte aussi vers les dégâts que la gestion de la crise fait peser sur nous, voire sur les tentations dictatoriales qui se manifestent aujourd'hui autour de cela par des mesures autoritaires concrètes, dont on peut déjà constater les dérives. Chacun choisit donc sa peur, et il va de soi que je ne m'exclus pas de ce constat. Toutefois, j'estime être encore rationnel et non simplement guidé par mes émotions primaires, en ce sens que si l'on met les choses en balance, il semble bien que les dégâts dus à la gestion seront incommensurablement pires que la pandémie elle-même, ce qui pourrait même mener à une situation où notre société serait si profondément endommagée que le système de soin en pâtirait, et serait donc encore moins à même de faire face à la suite de la crise ou à une prochaine crise.

 

C'est d'ailleurs un intriguant constat, puisque si cela arrivait, ce serait une métaphore, un parallèle absolu entre la destruction du système immunitaire individuel due au stress face à une menace, qui nous vulnérabilise face à cette menace, tandis qu'il se passerait exactement la même chose de manière collective : ainsi, en ayant voulu réagir de manière trop forte face à la pandémie, nous aurions porté un coup à notre système vital et à notre système immunitaire collectif que constitue le système de santé. En ayant voulu être résilients face à une épidémie, nous avons probablement sapé notre résilience.

 

 

Autre chose :

 

Je n'arrête pas de dire que le traitement anxiogène de cette crise par les médias cause d'énormes dégâts. Lorsque j'ai soutenu cela sur certains forums, certains ont crié au scandale et à l'irresponsabilité, car selon eux, il est responsable d'affoler les gens pour qu'ils réagissent.

 

Pourtant :

 

https://covidinfos.net/covid19/il-y-a-eu-beaucoup-trop-de-deces-dus-a-lisolement-selon-la-dr-martinaux-auditionnee-par-la-commission-denquete-du-senat/2009/

 

« Elle évoque également le traitement médiatique qui est fait de la crise.

« Que les médias martèlent tous les jours que les personnes très âgées vont mourir, c’est absolument dramatique, c’était la fin du monde pour elles […]. C’était très anxiogène pour toutes ces personnes, et ça l’est encore maintenant, car vous avez des personnes qui ne sortent toujours pas. »

« Aujourd’hui quand vous voyez les informations avec X cas, il faudrait vraiment préciser de quoi on parle […] Quand vous avez chaque jour le nombre de nouveaux cas, mais de quoi on parle ? Est-ce que c’est des tests positifs, ou est-ce que c’est des personnes malades ? Ça c’est important. Pour le moment, ce n’est pas du tout clair. »

(...)

« Il y a eu des décès directement liés au COVID, et il y a eu, je le redis, beaucoup trop de décès dus à l’isolement. On a fait ouvrir des portes et on a retrouvé beaucoup trop de personnes âgées par terre, certaines décédées. »

(...)

Selon elle, il faut « prendre en compte tout décès à domicile, ou en EHPAD, et connaître la cause. » De plus, « On oublie aussi, c’est important à signaler, les personnes chroniques qui n’ont pas été hospitalisées. Et on en a des tonnes à l’heure actuelle. Des personnes en situation de cancer, qui ont leur chimiothérapie qui ont été interrompues pendant 3 ou 4 mois. Ça c’est quelque chose qui n’est pas possible. »

« Plus jamais d’isolement sous prétexte de contamination, on est au 21ème siècle » »

 

Est-ce que cela est responsable ? Est-ce que cela est raisonnable ? Je vous laisse à vos consciences face à ces questions.

 

Autre texte sur covidinfos qui va dans le sens de ce que je viens d'écrire :

 

https://covidinfos.net/covid19/culpabilisation-conditionnement-mensonge-le-dr-badel-denonce-des-techniques-de-manipulation-mentale-dignes-des-regimes-totalitaires/2002/

 

 

Pendant ce temps, tout en laissant la porte ouverte à une éventuelle seconde vague dramatique, car personne ne peut prétendre lire l'avenir, le Dr Perrone nous affirme que pour le moment, il ne se passe rien de spécial.

 

Vidéo youtube : Pr. Christian Perronne : "Il faut raison garder, ce n'est pas une immense deuxième vague"

 

Et d'autres médecins expriment leur sentiment d'absurdité face à ce qui se passe :

 

Vidéo youtube : Covid-19 : «Un nombre de test complètement démesuré par rapport à la réalité de la situation»

 

 

Bien sûr, on peut s'attendre à tout, le propre de l'incertitude qui caractérise le vivant permet tout à fait que des experts se trompent, tout comme s'étaient totalement trompés ceux qui nous annonçaient jusqu'à des millions de morts rien qu'en France, alors qu'en définitive, il y a moins de morts en France que l'année dernière, ou que lors de la dernière épidémie de grippe sévère, pas plus loin qu'en 2017.

 

Mais ce que je retiens aussi de la dernière intervention, c'est peut-être aussi et surtout, alors que je restais assez dubitatif sur ce sujet, les masques seraient bien dangereux, lorsque mal utilisés. En effet, l'allusion faite à une staphylococcie faciale m'a alerté, et j'ai donc regardé ce que c'était.

 

https://www.doctissimo.fr/sante/dictionnaire-medical/staphylococcie-maligne-de-la-face

 

Or on découvre qu'il s'agit d'une maladie à évolution mortelle, potentiellement très grave... J'imagine que cela peut arriver lorsqu'on porte le même masque pendant des heures, voire des jours ou des semaines, comme ceux qui ne croient pas à cette mesure et, plus prosaïquement, ceux qui n'ont pas les moyens de se fournir constamment des masques neufs. Des démonstrations avaient déjà été faites à propos du fait que les masques développent toutes sortes de bactéries et de champignons, il semble désormais bien établi que cela peut véritablement provoquer des problèmes, y compris potentiellement mortels, ce qui, à l'échelle d'une population toute entière, notamment les jeunes, exposés à cette contrainte, fera nécessairement des dégâts, pendant que l'on continue à s'obséder d'un virus ne causant aucune surmortalité détectable à l'échelle annuelle, au moins jusqu'à présent. Sans vouloir remplacer une peur par une autre, je rappelle que ce problème du masque ne fait que s'ajouter à tous les autres, déjà causés par cette gestion sanitaire risible, qui ont déjà été traités dans les pages de ce blog, et qui concerneront, in fine, 100 fois ou peut-être 1000 fois le nombre de morts de l'épidémie, rien qu'au niveau du pays... Si ce n'est la population entière, touchée par les conséquences économiques et sociales. Et j'en trouve encore beaucoup pour refuser de comprendre où est le problème, apparemment satisfaits des effets de cette politique de risque zéro absolument intenable.

 

Pour découvrir d'autres perspectives que celles qui nous sont entrées dans le crâne par matraquage incessant depuis des mois, il faut parfois se tourner vers les peuples vivants en accord avec la nature :

 

Vidéo youtube : Une communauté résiliente depuis 1368 nous parle d'une autre facette de la "Pandémie"

 

Conception intéressante, certes pas nouvelle pour moi, tourné vers le chamanisme et l'anthropologie, mais qui pourrait bien avoir quelque chose à nous apprendre.

 

Enfin, à signaler aussi, lueur d'espoir, que l'OMS a modifié encore ses orientations ce mois-ci, à propos de la pandémie en Europe, et concernant le vaccin et le confinement :

 

https://www.lindependant.fr/2020/09/01/coronavirus-le-reconfinement-generalise-et-le-vaccin-ne-sont-pas-necessaires-en-europe-selon-loms-9043658.php

 

 

Je conclurai ainsi : pour moi, la situation actuelle me démontre ce à propos de quoi j'avais encore des doutes il y a quelques mois, à la sortie du confinement, à savoir que cette pandémie est bien fausse, si l'on suit les anciens critères de définition d'une pandémie, qui ont été modifiés opportunément, tout comme on peut dire que, techniquement, l'épidémie était terminée en mai juin suivant les critères qui prévalaient jusqu'à récemment pour définir la chose. Là aussi, on a redéfinit les termes comme on réécrit l'histoire dans 1984, ce qui cache nécessairement des intentions.

 

Si l'épidémie était donc terminée (peut-être repart-elle quelque peu dans le sud de la France, mais c'est un autre sujet), les contaminations que nous avons subi depuis mai sont donc des contaminations de peur. C'est la maladie de la peur qui sévit dans le monde actuellement, et qui se croise avec l'épidémie du nouveau coronavirus. La peur mérite elle aussi un traitement. On devrait par exemple mettre en quarantaine ceux qui la propagent : les médias officiels et les zombies scientistes inhumains qu'ils ont converti à leur cause par cette maladie. Car actuellement, cette maladie cause beaucoup plus de torts et de dégâts que la « pandémie », et elle continue de se répandre.

 

 

Addendum :

Sur l'effet des masques, l'expérience suivante n'est pas rigoureuse, mais a un mérite qui est de montrer que les masques n'arrêtent aucunement les aérosols. Un débat a eu lieu sur différents sites sur cette expérience, en proposant notamment d'autres expériences du même genre n'ayant pas eu exactement le même résultat. Il en ressort pour moi les conclusions suivantes :

 

- Oui, le masque arrête les postillons et, dans certains cas, dévie les aérosols au lieu de les envoyer à la face de la personne avec qui vous parlez.

- Non, le masque n'arrête pas les aérosols, qui se répandent en quantité dans l'air environnant, alors qu'ils sont connus pour être l'une des principales sources de contamination. On peut en déduire qu'ils sont insuffisants, quel que soit le modèle, ou presque.

- Les différences entre les expériences s'expliqueraient par les conditions atmosphériques. Il va de soi que le masque étant utilisé dans toutes les conditions atmosphériques possibles, sans être conçu pour l'extérieur dans la plupart des cas, il est fréquemment utilisé dans des conditions qui le rendent totalement inefficace.

 

Ceci ajouté à ces effets néfastes, souvent bénins mais parfois graves voire potentiellement mortels, comme il a été évoqué. Cela devrait suffire à faire comprendre qu'ils ne peuvent être considérés comme une panacée. Le lavage des mains reste la première des mesures d'hygiène à préconiser, à base de savon de préférence, car il est plus efficace que le gel hydroalcoolique, tout en étant moins agressif. On peut discuter de l'utilité de la distanciation et d'autres mesures, mais tout ça me semble relever plutôt de la superstition et de la psychologie...

 

https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/du-masque-et-des-virus-226968

 

 

Enfin, le dernier article de Bernard Dugué, déjà cité sur mon blog pour ses articles sur la « pandémie » :

 

https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/sommes-nous-face-a-une-troisieme-226997

 

Un autre indice que l'auteur a probablement raison sur le fait que nous sommes avant tout dans une vague de peur croisant avec un retour encore hypothétique de l'épidémie, et encore de manière localisée, peut être pris au hasard parmi les départements aujourd'hui déclarés comme sous situation de « vulnérabilité modérée » par santé publique France. Aujourd'hui, pas moins de 75 départements français sont déclarés sous état de vulnérabilité modérée ou élevée. Ceci est décrété en fonction du « taux d'incidence », dont il a été démontré qu'il n'avait aucune valeur scientifique, puisqu'il dépend uniquement du nombre de tests effectués, qui comportent d'ailleurs leur lot important de faux positifs. Lorsque la Haute-Loire, département où vivent mes parents, a été classé sous « vulnérabilité modérée », alors que même pendant le pic épidémique il faisait partie des départements à peine touchés, avec une sous-mortalité par rapport aux années précédentes, je me suis replongé dans le détail des chiffres par département, et beaucoup d'entre eux partagent cette caractéristique du département de la Haute-Loire : ils sont considérés à risques, à cause du taux d'incidence et du nombre de tests, alors qu'il ne s'y passe strictement rien, au niveau hospitalier, voyez par vous-même, 2 hospitalisations, 1 réanimation, situation n'ayant pas évolué depuis 3 semaines, c'est ce que l'on définit aujourd'hui comme « vulnérabilité modérée », alors où commence le stade de non vulnérabilité ? A zéro hospitalisation ? :

 

https://coronavirus.politologue.com/carte-de-france/43/

 

Faites la vérification département par département vous-même, si vous ne me croyez pas. Actuellement, les départements où l'épidémie repart à la hausse sont l'exception, et ils sont encore sous les seuils déclarés comme officiellement épidémiques, avant les modifications récentes des critères. Tout cela est carrément suspect... Et en attendant, on continue la torture soft de la population par des mesures contraignantes dont l'efficacité n'est pas prouvée, et dont la généralisation dans une population non formée, et ne se trouvant pas dans les bonnes conditions pour leur application (je pense ici particulièrement au masque), cause des dégâts. Pour ma part : je n'oublierai pas.

 

PS : je relaye également l'excellente tribune, dans laquelle tout est fort bien dit, publiée dans Le Parisien de 35 médecins, scientifiques et intellectuels, qui réclament un retour à des choses sensées en matière sanitaire et sociale :

 

https://www.leparisien.fr/societe/covid-19-nous-ne-voulons-plus-etre-gouvernes-par-la-peur-la-tribune-de-chercheurs-et-de-medecins-10-09-2020-8382387.php

 

 

Publicité
Commentaires
L'Oeil du Selen
  • La renaissance du défunt Oeil du Selen. Blog sans thème précis mais qui abordera ceux de la création, des perceptions, du monde tel que nous croyons le connaître... et bien d'autres choses.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Derniers commentaires
Publicité