Point d'information rapide sur la crise et la gestion sanitaire
En ce moment, je suis plutôt hyperactif en écriture, car besoin de me décharger de la tension électrique ambiante. Le masque obligatoire est arrivé dans ma ville, sous prétexte de clusters dans la région. La psychose est tellement bien installée que je voudrais tenter de faire un point, pour y voir plus clair moi-même, ainsi que pour mes lecteurs. Je voudrais écrire sur des sujets différents, plus « légers », mais ça reste difficile pour moi en ce moment, et je n'ai pas envie de faire semblant en détournant le regard, car il faut affronter la tension et la douleur quand elles se présentent. Comme des tas de gens dans le monde, notamment beaucoup d'enfants, mon sommeil est un peu perturbé, et je suis sûr que beaucoup ressentent cette situation comme pesante pour différentes raisons.
Compassion pour les malades et les personnes touchées
On ne dit pas assez souvent qu'une proportion non-négligeable de personnes touchées par la maladie développent soit des formes qui s'étalent dans le temps, soit des séquelles dont on ne connaît pas encore la durée et qui se rapprochent de syndromes existant pour d'autres maladies. On y rencontre notamment la fatigue chronique, que je connais bien, et qui m'a valu le statut d'handicapé depuis presque 15 ans. L'un des médecins que j'ai vus à ce sujet estime qu'elle pourrait bien être due à une infection ancienne qui aurait laissé des traces. De tels syndromes ont été repérés autour de la maladie de Lyme, du cyto mégalo virus et de bien d'autres infections aujourd'hui ignorées ou minorées. Je ne doute pas que les syndromes persistants liés au coronavirus seront eux aussi traités par dessous la jambe par les nombreux apôtres du matérialisme, laissant des cohortes de gens désemparés et plus ou moins handicapés dans leur vie quotidienne.
Compassion aussi pour ceux qui souffrent à l'hôpital, en réanimation, leurs proches et les proches de personnes décédées de cette maladie... et d'autres maladies dont on ne parle pas du tout en ce moment, car il n'y en a décidément que pour le covid.
Compassion pour toutes les personnes affectées par la crise
C'est à dire... tout le monde. Certains arrivent à avancer sans trop subir le stress, le poids des mesures contraignantes, mais ils sont rares, et je soupçonne que beaucoup d'entre eux se mentent à eux-mêmes pour ne pas se sentir trop affectés. Tôt ou tard, ils le seront malheureusement, et même s'ils sont réellement forts. Les dégâts psycho-sociaux de cette crise, ou plutôt en réalité dus à la gestion chaotique de cette crise, sont incommensurables, et je ne mentionne même pas l'économie. N'oublions pas que l'économie, dont certains déplorent naïvement qu'on la privilégie à la santé, permet aussi de soutenir le système de santé, qui en paiera lui aussi forcément le prix à un moment donné. Donc, la façon dont cette crise est gérée fera des dégâts dans le présent pour toutes les personnes vulnérables économiquement, du point de vue de l'emploi comme de la santé, mais aussi dans l'avenir, pour ces mêmes personnes, et pour tout le monde, et si le système de santé se retrouve affaibli du fait de la destruction sociale et économique, qu'en diront ceux qui disent aujourd'hui qu'il ne faut pas privilégier l'économie, alors que tout est lié ?
L'épidémie n'est pas grave
Une fois cela dit, je maintiens que l'épidémie n'est pas grave. Elle demeure comparable à une grippe plus ou moins virulente et handicapante selon les personnes qu'elle touche. Jamais on ne devrait risquer de détruire la société pour une maladie comparable à la grippe en terme de gravité. Si elle provoque des syndromes de longue durée, et bien il faudrait simplement les prendre au sérieux et en considérer les victimes avec humanité. La non prise en compte des personnes atteintes de syndrome persistant est à l'image de la gestion de la crise : inhumaine, incohérente, hypocrite et disproportionnée.
Une gestion de crise calamiteuse et cacophonique
Je suis lassé d'évoquer ce point en long en large et en travers, alors je fournis plutôt des liens pour que chacun puisse entendre ce qu'ont à en dire de plus spécialistes que moi, en commençant toutefois par le cas de ma région, où l'on a pu constater une fois de plus que rien ne marche comme il faudrait. Ainsi j'avais souligné que la Haute-Loire était passée en alerte modérée et menaçait de passer en niveau rouge, alors qu'on ne constatait aucune hausse des hospitalisations. Il s'avère que les chiffres ont bondi d'un seul coup, sans que personne ne comprenne vraiment. On annonce des clusters (mais il y en a partout, puisque 3 « cas positifs » suffisent à faire un cluster, donc difficile de s'y fier, d'autant que l'on sait aujourd'hui que 80% des « cas positifs » ne sont pas malades...). En fouillant les journaux, on découvre que l'un annonce 16 hospitalisés dans un hôpital précis, alors qu'un autre, le lendemain, parle de 4 cas hospitalisés. Les chiffres sont mis à disposition de Santé Publique France, qui les relaye de manière erratique. Comme avec les tests ou les masques, on ne sait plus où donner de la tête.
Et puisque je parle des masques, justement, ils font légitimement l'objet d'une vaste contestation en France et à travers le monde. Essentiellement parce qu'ils ont été imposés lors du creux épidémique, lors de mesures politiques éhontées, ce qui fait craindre aux populations qui ne voient pas la fin de l'épidémie, leur généralisation pour aucune raison. Là encore, on aura fait preuve d'une totale incompétence en ne prenant pas en compte un paramètre psychologique si important et si facile à comprendre... sauf pour nos « conseils scientifiques », visiblement, à moins que le but soit réellement, comme certains le pensent, de dresser les gens à la soumission. On est en tout cas fondé à l'imaginer et à le craindre.
Des spécialistes et des citoyens dénoncent tous les effets pervers liés au masque (et aux autres mesures type marteau pour écraser une mouche), notamment concernant les enfants :
Rappelons que le rôle des adultes et d'une société est avant tout de protéger et de préserver les enfants, et non de les exposer à une psychose délirante, et en tant qu'ancien membre d'un comité des droits de l'enfant, je suis particulièrement choqué du manque de proportions et de précautions prises avec les enfants dans cette période. Non qu'on doive leur cacher la dureté du monde, mais on est censés leur permettre un développement aussi serein que possible, ce qui serait d'autant plus facile qu'eux ne sont pas menacés par l'épidémie. Cela fait craindre le pire, si une autre maladie surgissait, qui pourrait les affecter en masse... Nous sommes vraiment collectivement devenus fous, et le système du bio-pouvoir une machine à broyer les psychologies des masses et des enfants.
Vidéo youtube : La muselière du 21ème siècle
Ci-dessous, un chirurgien donnant quelques mises au point sur la réelle utilité du masque, et montrant quelles sont les conditions dans lesquelles il devrait en fait être utilisé. Ce visionnage devrait convaincre quiconque que le masque est une mesure imbécile et contre-productive, par rapport aux mesures d'hygiène standard, largement suffisantes pour une telle épidémie, d'autant que strictement rien ne prouve que des mesures telles que le masque ont un quelconque effet notable sur celle-ci.
Vidéo youtube : utilisation et utilité du masque en bloc opératoire
D'autres contestaires des mesures disproportionnées et délirantes, dans le milieu médical :
Vidéo youtube : Coup de sang du Dr Pascal Trotta " Vous êtes des charlatans !"
https://www.bilan.ch/economie/antoine-hubert-la-gestion-de-la-crise-du-covid-est-delirante
Rappel du collectif ACU, créé en Allemagne pour enquêter sur la gestion sanitaire et ses effets :
https://acu2020.org/version-francaise/
Sur les manipulations essayant de valider l'utilité du confinement, ou d'hystériser les esprits autour de celui-ci :
Enfin, un documentaire absolument saisissant sur la réalité de la gestion sanitaire, ses dessous et ses conséquences réelles, au Canada, où la situation est tout à fait comparable à l'Europe. Si vous ne deviez consulter qu'une vidéo de mon article, je pense que ce devrait être celle-ci :
Vidéo youtube : COVIDENCES 2020
Et voilà pour cette fois. En résumé, nous voici embarqués pour on ne sait combien de temps dans un délire planétaire à propos d'une maladie comparable à la grippe, même si elle provoque apparemment plus de séquelles, ce qui reste néanmoins à vérifier, car on a perpétuellement eu tendance à tout exagérer concernant cette nouvelle maladie, en taisant le fait que les autres maladies telles qu'une grippe banale peuvent aussi causer des dégâts à long terme et des décès par complications.Dire par exemple que la mort sous covid est particulièrement horrible, comme si c'était sympa de mourir de tuberculose ou de cancer, ou même de la grippe.
Une crise hypocondriaque et psychotique nous empêchant de voir les choses à leur juste mesure s'est développée dans le monde, qui de manière bien pratique arrange les affaires de l'industrie pharmaceutique, dont on dira que c'est par pur hasard, tout comme des Bill Gates, flairant le fric, sont passés par là tout à fait par hasard et opportunément pour nous faire profiter de leurs bienfaisances.
Il se cache des choses derrière cette crise, et sans pousser la paranoïa jusqu'à imaginer forcément une machination planétaire, j'ai peine à imaginer, en tout cas, que certains ne profitent pas de l'aubaine, façon stratégie du choc, pour augmenter encore les dégâts et en soutirer des bénéfices immédiats. Je retiens toutefois aussi l'idée, qui semble assez évidente quand on y pense, que l'exécutif est autant voire plus paniqué que les populations, et que c'est sans doute la première raison qui explique leurs mesures cacophoniques, désorientées, toujours changeantes, jamais proportionnées ou juste à point, toujours quelques degrés de trop dans la panique et la transmission de la panique à la population, comme pour s'en défausser en culpabilisant cette dernière. Les explications de type complotiste ne me convainquent pas, mais contiennent comme toujours leur part de vérité indiscernable... qui alimente encore la peur. À nous donc d'apprendre à retrouver un peu de sérénité et de clairvoyance en attendant la fin de l'orage qui, n'en doutons pas trop tout de même, finira bien par avoir lieu, comme avec toutes les épidémies. Ce que je crains personnellement n'est pas l'épidémie, dont la gravité est mineure, et quand bien même on développerait une forme grave, la vie n'a jamais été un chemin semé de roses, mais la façon dont on la gère, incroyablement stupide, qui me donne l'impression d'une société qui se jette et se fracasse contre un mur en voulant fuir une épidémie qui est pratiquement – soyons enfin lucides et intellectuellement honnêtes – presque impossible à juguler, sauf à utiliser des méthodes chinoises, et encore, qu'en savons-nous vraiment ?
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