Chronique d'un monde en vrac, 11 Instrumentalisations, ensauvagement, régime de la terreur
Ces derniers temps, j'ai beaucoup réfléchi à cette crise, à la situation que nous vivons, à la manière dont je la vis, à l'avenir du blog, aux évolutions à donner en terme de ton, d'état d'esprit, d'orientations, car j'ai parfois l'impression que mon état d'esprit a tendance à tirer mes textes et mon blog vers le bas, alors que l'époque se prête particulièrement à une élévation de l'observation, afin de capter l'essence des choses, au lieu de se perdre dans les détails. Cela est compliqué pour moi, car je suis tiraillé entre mes valeurs personnelles et le besoin de maintenir une conscience qui ne soit pas que captive du mouvement des choses. Je cherche un équilibre entre la nécessité de dénoncer certaines dérives, et celle d'aller en direction d'une certaine sagesse. Dans ce numéro, je vais tenter d'être assez bref dans mon analyse, et de donner l'essentiel de mes liens en fin d'article, afin de tenter de conserver une fluidité dans mon propos. Je vais aussi tâcher à l'avenir – tenter – de prendre mes distances avec une analyse trop réactionnelle des choses, afin de prendre beaucoup plus de recul d'une manière générale dans le blog, car j'avais auparavant comme principe de toujours attendre quelques semaines avant de proposer une réflexion sur quelque chose, et j'ai de plus en plus tendance à y déroger. D'autre part je vais aussi tenter de revenir à des thèmes plus diversifiés et un peu moins dans la tension des faits de société, mais il restera néanmoins important de conserver un regard régulier sur ce qui se passe, car nous vivons un moment charnière et historique, qui a d'importantes relations avec le domaine de l'ingénierie sociale qui a toujours été un aspect central de ce blog.
Beaucoup, énormément de choses sont constamment dites et écrites sur le moment unique que nous vivons. Il est sans doute inutile de revenir sur l'absurdité évidente des mesures, toujours aussi incohérentes et excessives, maltraitantes pour les enfants mais aussi pour les adultes toujours aussi infantilisés et culpabilisés. Les occasions visant à détourner l'attention de la gestion gouvernementale catastrophique – la France a un des pires bilans du monde et persiste dans des mesures qui n'ont jamais donné aucun résultat probant en terrorisant et en opprimant la population – abondent, et on poursuit dans la bonne vieille stratégie de division consistant à polariser la population sur les questions de dangerosité de l'épidémie ou sur la problématique symbolique, mais aussi bien réelle, des masques et des contraintes parfois dangereuses qu'ils posent. J'indiquerai en fin d'articles de nombreux liens montrant qu'ils sont bien plus délétères que je n'osais l'imaginer moi-même.
Un point qui mérite en revanche d'être considéré dans ce contexte porte sur la désertification médicale qui continue de progresser en France, depuis bien avant la pandémie, qui aura été un accélérateur de ce problème. Au moment où la population a le plus besoin d'une médecine efficace, les médecins et personnels médicaux démissionnent en nombre face à la pression devant laquelle on les a mis, poussant dehors ceux qui étaient déjà impatients bien avant cette crise devant les conditions de travail que le pays leur impose. Ce qu'on dit peu également, c'est que des lits d'hôpitaux, y compris de réanimation, ont été supprimés depuis le confinement, et je ne parle pas seulement d'un retour à la situation précédente : je parle bien de la poursuite au même rythme des politiques décidées et mises en œuvre avant la crise, depuis déjà des décennies. Nous vivons dans un pays gouverné par des poulets sans tête qui s'agitent et s'activent sans cesse dans les médias et sur twitter pour rabrouer les gaulois réfractaires et ceux qui protestent contre les mesures, mais n'ont jamais assez de temps pour remettre en question l'inanité de leurs politiques. Une idéologie libérale est à l’œuvre, et interdit visiblement toute réflexion, toute remise en cause, et à l'heure où certains déplorent encore que l'on sacrifie « l'humain à l'économie » en ne clôturant pas tout le pays, en n'empêchant pas la rentrée des classes et toute forme d'activité sociale dans ce pays, des opérations chirurgicales sont de nouveau déprogrammées, les faillites s'accélèrent, et ce alors que c'est cette même économie, si méchante, qui soutient les emplois aussi bien que le système de santé censé permettre d'endiguer le genre de crise que nous vivons. Nous sommes en train de saboter nos moyens de lutte en même temps que notre tissu social – ici, département soumis aux nouvelles mesures « sanitaires », il devient extrêmement difficile de maintenir depuis 6 mois la moindre manifestation festive ou autre – et d'assister au spectacle étonnant d'un unijambiste qui se ronge la seule jambe qui lui reste. Et certains de continuer à dénier qu'il puisse y avoir un jour effondrement de la société... voire de la civilisation. Alors que cette dernière montre tous les signes d'une folie qui la dévore et qui lui semble irrépressible.
Les maladies chroniques sont donc de moins en moins traitées, alors même qu'il était déjà auparavant très difficile – et j'en témoigne personnellement – de se faire entendre lorsque l'on est atteint de certains maux à bas bruit, difficilement détectables, et nécessitant des spécialistes avertis, qui sont aujourd'hui indisponibles voire de plus en plus introuvables. La société occidentale glisse peu à peu dans un marasme indescriptible dont la crise sanitaire n'a été, je le répète, qu'un accélérateur et un révélateur.
Dans ce paysage, certains éléments manquent comme une opposition digne de ce nom. Avez-vous entendu des politiciens ou des artistes s'élever contre le nouvel ordre sanitaire que nous vivons ? Cet épisode totalitaire ferait-il donc l'unanimité parmi ceux qui attendent en embuscade dans les recoins du pouvoir aussi bien que chez les artistes subventionnés par le monde du show business ? Pourtant, ces derniers sont parmi les premiers à être exclus de la vie actuelle. Mais bien sûr, il faut faire la différence entre ceux qui paradent le dimanche chez Drucker – sans masques – et ceux, sans revenus mais aussi sans voix et sans dents, qui dépendent des festivals et des théâtres, qui soit ferment, soit reçoivent de moins en moins ce public maintenu sous pression et sous contrainte. Les gens qui refusent de fréquenter les magasins aussi bien que les cinémas, les musées ou les théâtres sont aujourd'hui la norme, norme dont je fais pour une fois partie. Et ce que l'on a trouvé de mieux, c'est de les encourager en ce sens en faisant fermer les lieux de rencontre et de culture, prolongeant ainsi le marasme, la morosité, le désespoir même, qui pousse des personnes de plus en plus nombreuses à en finir avec la vie. Ceci ajouté aux troubles du comportement qui se multiplient chez les plus jeunes d'après les spécialistes qui les reçoivent depuis une rentrée pourtant encore toute récente. Le port du masque obligatoire, et parfois supervisé avec zèle par nombre de personnels éducatifs soumis à l'état agentique (expérience de Milgram à ciel ouvert), n'y est certainement pas étranger, ainsi que le climat incroyablement mortifère auquel tout le monde est aujourd'hui soumis, pour une maladie dont la dangerosité – cela est aujourd'hui largement admis – est du même ordre que celle de la grippe.
Sans opposition, avec très peu de manifestations audibles de la part d'opposants philosophiques, politiques (je n'ai entendu qu'Asselineau et Philippot formuler de véritables arguments critiques), artistiques ou autres, le gouvernement navigue à vue dans le brouillard qu'il distille lui-même. La situation n'est pas très différente ailleurs, mais la France fait incontestablement partie des pays qui ont la gestion la plus risible et la plus lamentable, au moment où j'écris, pour avoir observé un peu ce qui se fait dans d'autres pays. Rien d'étonnant, du coup, à ce que la seule contestation perceptible vienne enfin de la région PACA, aujourd'hui soumise à des abus provenant du gouvernement, qui en dénie le caractère arbitraire avec l'aplomb reconnaissable et typique de tout goujat qui se respecte.
La marche vers le totalitarisme sanitaire est ainsi bien engagée, mais heureusement l'on voit poindre de plus en plus d'initiatives associatives et juridiques pour contrer enfin ces abus qui mériteraient d'être jugés face aux conventions sur la torture, lorsque l'on considère avec objectivité la manière dont, en particulier, nos plus jeunes sont traités dans la plupart des lycées et collèges de France, alors même qu'ils sont la population la moins à risque. Plus d'informations à ce sujet dans mes liens en annexe.
Il est en effet grand temps de retourner l'instrument juridique contre ceux qui l'instrumentalisent pour se protéger de leur gravissime incurie, ayant vraisemblablement aggravé la mortalité lors du confinement, en empêchant des soins de premières nécessités, en délaissant des personnes âgées fragiles, et en interdisant aux médecins de prescrire librement, première historique après des millénaires de médecine Hippocratique.
À la lumière des faits actuels, il devient de plus évident que notre société pourrait s'écrouler par la faute de toutes sortes de dérives jamais corrigées, et toujours instrumentalisées. Au premier rang de ces dérives, le rôle des médias, amplificateurs de crises, rapaces émotionnels, parasites du pouvoir et du peuple, toujours serviles, incapables de l'objectivité pourtant exigée par leur métier, propagateurs d'angoisses et épandeurs de calomnies. Juste après eux, la justice, amplement dévoyée, détournée de ses buts et de ses principes, aujourd'hui dans un rôle principalement d'obstacle à la société et à la justice puisqu'utilisée pour protéger et immuniser les riches et les puissants, leur autorisant toutes les erreurs, puisque la population n'y a que peu accès, et que les mieux pourvus n'ont, en revanche, aucune difficulté à l'instrumentaliser, voire à carrément la détourner en la restructurant suivant ses propres intérêts. Pourtant, la justice semble encore une des voies pour retourner la situation, alors que les médias semblent s'enfermer dans leur rôle de chien de garde du pouvoir, et que le seul espoir semble se trouver dans un internet de plus en plus verrouillé par les GAFAM, grands gagnants de la crise, où la censure se répand dans le sillage du politiquement correct, de l'anti-complotisme primaire, aidé en cela par une autre instrumentalisation qui est celle des luttes sociétales, elles aussi dévoyées. Les nobles luttes que pouvaient être celles des Martin Luther King ou des authentiques féministes qui prônaient l'égalité, sont devenues une guerre des sexes et une guerre des noirs contre les blancs, ancrées dans un passé fictif, polarisé, dramatisé et caricaturé (mais qui sortira son hachoir contre ces caricatures là ?). Divisions parmi tant d'autres... toutes les luttes sociétales ayant été détournées dans ce vil but.
Il me fait bien entendu ajouter à ce tableau la cerise qui manque encore sur le gâteau, qui est celle de l'agitation des passions violentes, avec déjà le retour au terrorisme et toute la rhétorique autour de l'ensauvagement, qui me semble rater le coche. L'ensauvagement, s'il existe dans la réalité, et bien qu'on le cherche dans des chiffres toujours instrumentalisés eux aussi, est le fruit d'une société sans repères, sans idéaux, sans gouvernail, où personne n'est d'accord sur l'immigration – puisqu'il est bon que tout le monde soit divisé sur tout – et où bien peu arrivent à tenir un discours cohérent tenant à la fois compte d'une sorte de devoir d'humanité face à des gens ballottés par le destin, qui cherchent leur avenir en occident, et d'un devoir de maintenir un pays à flot face à des flux que l'on ne peut ni contrôler ni intégrer. C'est que l'on ne prend jamais les problèmes à la racine, à savoir que ces flux sont causés avant tout par nos ingérences, et le chaos dans lequel l'occident plonge le reste du monde, en y répandant également sa mentalité de profit à court terme, dont se saisissent parfaitement des marchands d'êtres humains qui n'attendaient que cela. C'est le prix à payer pour la prospérité que nous avons construit sur le dos des pays pauvres – pardon, on dit « en développement ». Mais aussi pour avoir financé le terrorisme, l'avoir lui aussi instrumentalisé selon nos intérêts. Intérêts qui sont multiples puisqu'il semble qu'il serve même à agiter la peur chez nous, ou comment faire d'une pierre plusieurs coups.
Quoiqu'il en soit, nous voici tous enfermés dans un cycle de psychose qui est faite pour durer longtemps. Ils n'ont jamais lâché le terrorisme comme outil de manipulation des masses et de renforcement de l'autoritarisme, et ils en feront de même avec l'obsession sanitaire désormais scarifiée dans l'esprit des populations. Il ne leur restera qu'à enfoncer le clou avec le climat, l'écologisme de surface, le capitalisme « vert ». Le thème de l'ensauvagement, qu'il recouvre une réalité, ou ne soit basé que sur un amoncellement de faits divers mis sur le devant de la scène par des médias toujours à l’affût – je suis aujourd'hui incapable de le dire – n'est qu'un embellissement de ce paysage de la terreur et du désespoir appelant plus de sécuritarisme en réponse. Cet ensauvagement, en tout cas, est une conséquence logique d'une déperdition de repères, de l'immoralité et de l'inconséquence politiques se répandant par ruissellement parmi une population de plus en plus abandonnée à elle-même par un régime de la terreur qui, pour le moment – mais pour combien de temps ? – en tire les plus grands profits pour se maintenir.
Annexes
(Note : article à lire si vous ne deviez consulter qu'un seul lien ! Contient énormément d'informations factuelles provenant d'une source scientifique sérieuse de laquelle on ne s'attendrait pas à entendre de telles choses, puisque c'est un ancien de Big Pharma qui détruit toute la politique sanitaire et ses abus)
« Indépendance de la presse » :
Problèmes similaires sur internet, concernant « Le Média », noyauté par ce que j'appellerais volontiers des agents politiques :
Vidéo youtube : AVENIR DU MÉDIA : À VOUS, SOCIOS, DE CHOISIR
Instrumentalisations sociétales :
Vaccins et covid-19 :
Vidéo youtube : Les effets secondaires d'un vaccin imparfait | COVID 11
(note : vidéo intéressante mais qui ne va pas assez loin dans la critique de la problématique du vaccin, considérant notamment ce dernier comme un acquis – biais scientiste typique – alors même que jamais aucun vaccin n'a été trouvé contre les coronavirus, ni contre le VIH ainsi que pas mal d'autres affections)
Infos en vrac sur le covid-19 et la santé :
Influence des labos :
Vidéo youtube : Big Pharma, labos tout-puissants | ARTE
Mesures délirantes, effets délétères, masques, enfants, etc. :
https://lyme-metauxlourds.org/effets-secondaires-du-port-de-masques-faciaux/
Vidéo youtube : FUITE AUDIO VÉCU, le médecin scolaire balance du lourd
(note : je ne trouvais plus les textes de Nicolas Bonnal depuis le confinement, je suis heureux de voir qu'il est de nouveau actif sur son site)
Résistance contre les mesures :
https://odysee.com/@SilvanoTrotta:f/Un-M%C3%A9decin-d%C3%A9misionne-!-:f
https://francais.rt.com/france/79098-prolongation-restrictions-liberte-inquiete-defenseur-des-droits
Sur l'immunité :
Corruption, instrumentalisation politique et abus :
Vidéo youtube : IL FAUT TUER IDRISS ABERKANE
(Note : cas très intéressant et intrigant à écouter)
/https%3A%2F%2Fassets.over-blog.com%2Ft%2Fcedistic%2Fcamera.png)