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L'Oeil du Selen
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19 octobre 2020

Covid-19, perceptions et contradictions, le glissement vers la confusion, la division et la folie

 

Mon ambition, à travers cet article, est de tenter de ramener un peu de clarté dans l'océan de déraison dans lequel nous sommes désormais plongés. Cela fait des mois que je lis et que j'écoute l'opinion des uns des autres, des experts désignés comme des moins experts, et franchement je me sens un peu perdu. Ayant toujours mis un point d'honneur à comprendre une réalité certes étrange, souvent imprévisible, et dont beaucoup des aspects nous demeurent encore mystérieux, je n'arrive plus à suivre des déclarations aussi contradictoires que « l'épidémie est terminée » ou « c'est une deuxième vague catastrophique ! » qui s'affrontent dans le champ public. Comme je ne suis pas psychotique, je crois fermement que la réalité est une et indivisible. Toutefois, nous négligeons trop souvent et trop facilement l'importance du regard que nous posons sur celle-ci, et qui peut engendrer des perceptions drastiquement différentes, voire opposées, un peu comme dans le conte indien de l'éléphant et des aveugles.

 

https://www.grainesdepaix.org/fr/ressources/sinspirer/contes-et-histoires/contes-de-paix/les_six_aveugles_et_l_elephant

 

Le monde réel, auquel nous nous sommes habitués par nos sens, nous semble, à tort, commun et univoque, car nous n'en percevons que des aspects superficiels, qui sont ceux qui parviennent jusqu'à nos sens et notre système nerveux en général, qui organise ces perceptions d'une manière intelligible pour notre raison, qui à son tour opère une sélection entre ce qu'elle peut appréhender, et ce qu'elle ne peut pas organiser, classer, hiérarchiser. A la sortie de ce filtre passe seulement une version extrêmement réduite du réel, épurée de nombreux aspects que nos sens et notre raison ne sont pas en capacité de gérer simultanément.

 

Il se pose, en fait, dans le contexte actuel, un véritable problème de définitions dans les débats. Ainsi, puisque personne n'a défini l'expression « deuxième vague », n'importe quoi peut passer ou ne pas passer pour une seconde vague épidémique. Selon la définition implicite que nous aurons de ce terme, nous verrons une simple ondulation des courbes, voire rien du tout, là où d'autres verront une immense catastrophe en cours. D'où les différences de réactions et d'opinions par rapport à ce qui arrive – ou n'arrive pas. Même la façon dont les courbes sont dessinées, regardées ou commentées permet d'aboutir à des conclusions totalement en opposition : tout blanc, ou tout noir, sans que la bonne foi des personnes opérant ces sélections soit réellement en cause. Vous pouvez aussi choisir de considérer telle courbe plutôt que telle autre, en fonction de ce que vous voulez démontrer. Ainsi, le dernier article de les-crise.fr sur le coronavirus daté du 17 octobre 2020 contient-il pas moins de 55 courbes et graphiques sur l'épidémie, dont aucun ne ressemble à celui que l'on trouve en 5e position sur cette page et qui montre la mortalité officiellement liée au covid-19 en France aujourd'hui :

 

https://www.worldometers.info/coronavirus/country/france/

 

C'est ainsi que fonctionne le biais de confirmation. Il aurait suffi d'une 56e représentation, et les 55 autres seraient apparues sous un jour totalement différent, au moins à ceux qui ne sont pas aveugles et ont les yeux en face des trous, et à qui l'on soumet depuis des mois, sur ce site, cette propagande uniquement orientée vers l'alarmisme, et qui désormais ne cite pratiquement plus que des médias officiels non indépendants à la rescousse pour soutenir ses vues. Parce qu'il y a toujours des objectifs visés, qui sont souvent dans le plan de l'inconscient, et dont le premier but est l'évitement ou la résolution de la dissonance cognitive.

 

Et bien je le dis tout net, moi qui écoute tous les points de vue sans a priori, qui ait depuis des mois recensés des articles, des études et des opinions de tous bords, je suis dans la dissonance cognitive, et c'est très bien. Je ne vais pas éviter cette dissonance, je vais tenter de l'accepter, et l'on verra si je parviens à la résoudre en écrivant cet article, car c'est bien là exactement ma démarche (même si je vais également passer par d'autres considérations, car il y a tant à dire, et je me retiens depuis des semaines, par lassitude vis à vis de ce sujet qui envahit tout, mais qu'il faut bien traiter pour de bon un jour ou l'autre).

 

L'un des points de vue qui a plus particulièrement retenu mon attention récemment était la dernière vidéo de Slobodan Despot sur sa chaîne youtube :

 

Vidéo youtube : ANTIPRESSE 255 | 18 10 2020 — Le briefing avec Slobodan Despot

 

Le point principal de cette vidéo, en rapport avec mon propos d'aujourd'hui porte sur un article de Philippe Guillemant cité par Slobodan, à propos de la double causalité en lien avec le coronavirus. Malheureusement, je n'ai pas su retrouver cet article, mais je comprends parfaitement l'allusion, pour avoir déjà lu des articles et ouvrages de Philippe Guillemant. Son idée de la double causalité se rapporte à une hypothèse de travail liée à la physique quantique, qui postule – pour faire court au risque de déformer sa pensée – qu'une même cause peut produire des effets divergents sur le réel, et que des chemins peuvent se séparer. Ainsi, certaines personnes pourraient être davantage reliées à un aspect du réel, et d'autres à une version opposée, ce qui pourrait être une explication séduisante – bien que peut-être totalement illusoire – des dissensions à ce propos.

 

https://www.laprocure.com/route-temps-theorie-double-causalite-philippe-guillemant/9782351851630.html

 

Dans un autre article, Philippe Guillemant se fait plus prosaïque, sur la question de la posture « pro ou anti » masques.

 

https://www.nexus.fr/actualite/billet-dhumeur/masque-philippe-guillemant/

 

Je le rejoins totalement sur cette question de posture, et ne me déclare moi non plus ni pro ni anti-masques. Il me semble que, d'une part, le masque est probablement utile dans certaines circonstances précises, bien qu'il soit difficile de mesurer précisément cette efficacité, et totalement inutile voire contre-productif et même parfois dangereux dans d'autres circonstances. Il est donc aussi irresponsable de refuser catégoriquement le masque en toute circonstance que de l'imposer formellement dans tous les lieux, à tout horaire, et en toute circonstance. C'est pourtant ce dernier choix qu'a opéré notre gouvernement, qui, je le crois, a amplement démontré son irresponsabilité dans toute cette crise.

 

Les arguments sur l'efficacité du masque sont d'ailleurs en eux-même très parlants sur cette mauvaise foi que j'évoque plus haut.

 

Ainsi, du côté des pro-masques, vous entendrez souvent que les fibres du masque laissent passer l'oxygène, car il est minuscule, et qu'il est par conséquent absurde de dire que l'on peut s'asphyxier avec un masque. Par contre, le virus, lui aussi infiniment plus petit que les fibres, serait néanmoins arrêté, parce qu'il existerait un phénomène électro-statique... dont on n'avait jamais entendu parler à ce jour, et à propos duquel il n'existe bien évidemment aucune étude ni aucune preuve, car ce phénomène étant inobservable en situation réelle par des moyens connus, y croire est totalement équivalent à croire que Jésus a marché sur l'eau, ou que la Terre est plate.

 

Symétriquement, du côté des anti-masques : le virus passe à travers le masque, puisque bien plus petit que les fibres, mais il empêche de respirer en bloquant le CO2 à l'intérieur, pourtant bien plus petit que le virus.

 

Comment résoudre ces contradictions et avoir un discours mesuré, cohérent prudent, ne tombant pas dans de fausses certitudes confortables ou le biais de confirmation ? Ce n'est pas si simple, mais souvent le bon sens aide beaucoup, pour peu que vous fassiez preuve d'honnêteté intellectuelle et de réflexion.

 

Ainsi, un coussin est fait de fibres en tissu, tout comme un masque, qui sont d'ailleurs plus lâches que celle d'un masque chirurgical. Pour autant, nous savons tous que l'on peut tuer quelqu'un en l'étouffant avec un coussin... C'est simplement l'épaisseur du coussin qui fait que l'air ne peut plus circuler assez rapidement pour permettre un débit de respiration suffisant. Croire qu'un masque n'a strictement aucun impact sur ce débit est idiot. Un masque chirurgical est fait de 3 couches : deux de tissu, et une autre encore plus serrée entre les deux couches de tissu. Ouvrez en donc un pour voir. Donc un masque réduit bien, forcément, le débit de l'air, même si c'est dans une faible mesure. La question est alors de savoir si cette diminution du débit est suffisante pour impacter la respiration humaine, et les fonctions physiologiques que celle-ci pilote. Je n'ai pas les études sous la main, car j'ai lu et écouté tellement de choses que je n'ai pas tout classé, mais peut-être ai-je fait passer ça dans un précédent article (oui, je ne suis toujours pas très ordonné...), mais je sais que j'ai vu passer une étude qui comparait des populations de chirurgiens par rapport au temps de port du masque, et il y avait bien une différence dans l'état de santé générale, entre ceux qui le portent plusieurs heures par jour, et ceux qui le portent seulement occasionnellement pour des périodes très courtes. Il a aussi mesuré qu'à partir d'1h30 environ de port du masque, le corps a tendance à passer en hypercapnie, c'est à dire en excès de CO2. A savoir qu'il y a une différence entre hypercapnie et hypoxie (manque d'oxygène), et que les deux ne sont pas forcément simultanés, mais peuvent l'être. L'hypercapnie est aussi davantage pathogène que l'hypoxie, en terme de dégâts sur les cellules. Plus d'informations sur ce sujet ici, si cela vous intéresse :

 

Vidéo youtube : Les dangers relatifs du port d'un masque ?, d'un point de vue respiratoire, par le Dr. Thomas.

 

Voici donc établi que le masque porterait bien atteinte à notre santé, lorsqu'il est porté trop longtemps, ou pour certaines personnes fragiles sur le plan respiratoire. Par ailleurs, de nombreuses maladies de peau ont été confirmées, allergies, eczéma, acné, et le risque accru de certaines infections semble plausible dans le cas d'une utilisation mauvaise ou excessive. Sans parler des maux de tête, étourdissements, baisse de la concentration (on se demande quel sera l'impact sur des élèves devant écouter des cours et étudier toute la journée avec...), etc.

 

Reste la question de son efficacité, et force est alors de remarquer que le port du masque généralisé n'a pas empêché la remontée épidémique actuelle, même si les aficionados continueront d'affirmer avec aplomb que cela aurait été pire sans, en dépit du fait que rien ne le démontre, et que cette affirmation gratuite contredise leur foi habituelle dans la méthodologie en double aveugle. Ceci d'autant plus que les pays ayant adopté des stratégies différentes n'ont pas obtenu des résultats drastiquement différents. Mais même dans ces cas-là, on cultive le biais de confirmation en choisissant les courbes et les comparaisons que l'on fait. Ainsi, l'on choisit souvent de comparer la Suède avec la Norvège et la Finlande pour démontrer qu'elle obtient de bien pires résultats que ses voisins (comme si ceux-ci avaient connu des conditions épidémiques de base comparables, ce qui reste à prouver, et semble d'ailleurs faux), alors que si on la comparait au Danemark ou à la France, on s'apercevrait qu'en fait, ces pays aux trois stratégies différentes arrivent aux mêmes taux de mortalité.

 

En fait les différentes approches des pays, par exemple en Europe, semblent bien souvent avoir donné des différences de résultats minimes voire nulles. Reste à savoir pourquoi les asiatiques ont apparemment relativement mieux géré l'épidémie dans ce cas, quoique ce soit tout de même le continent avec la plus forte mortalité totale, mais c'est aussi largement le plus peuplé, ce qui peut suffire à expliquer cela.

 

 

Des divergences radicales de point de vue

 

La gestion de la crise, comme les débats autour de celle-ci et du virus, sont encore marqués par d'autres contradictions profondes qui alimentent la confusion et la spéculation.

 

Comme je l'ai dit, l'absence de définition de ce qu'est et n'est pas une seconde vague fait partie de ces problèmes. On peut considérer la chose de plusieurs façons.

 

Tout d'abord, si l'on regarde les courbes de cas, il est vrai qu'il y a une explosion totalement impressionnante des cas signalés positifs à la maladie. C'est bien simple, dans plusieurs pays du monde et notamment en Europe, il y a aujourd'hui beaucoup plus de cas tous les jours qu'il n'y en avait lors de la vague du printemps. Ainsi, l'Espagne n'a jamais dépassé 10 000 cas par jour pendant la grande vague épidémique, mais atteint aujourd'hui plus du triple, certains jours. En France, cela monte même à 6 fois le record de cas de la vague printanière, et toutes les semaines, les médias nous parlent de records de cas battus. Les hospitalisations augmentent aussi, c'est ainsi que mon journal local parle d'une situation bien pire que lors de la vague printanière.

 

Il y a donc bien une deuxième vague.

 

Mais attendez... Pourtant, quand je regarde les chiffres de mon département, le plus touché de France, il y a toujours moitié moins de réanimations que lors de la première vague, alors même que les réanimateurs ont signalé qu'aujourd'hui, on place beaucoup plus facilement les gens en réanimation, mais pour une durée plus courte, avec des méthodes moins invasives, moins iatrogènes, et bien plus efficaces. J'en déduis donc que ce sont surtout certains coins du département qui sont plus touchés, qui sont surtout ceux qui avaient échappé à la première vague, où n'existe pas d'immunité. En effet, cela avait été très calme, ici, même s'il avait existé quelques cas, notamment pendant la période du confinement où ils ne pouvaient pas contaminer grand monde, du moins en principe. Car on pourrait débattre aussi de l'efficacité du confinement, et alors cf ce qui a été dit ci-dessus, où l'on n'observe pas de différence mesurable entre ceux qui y ont eu recours, et les autres. J'y reviendrai plus loin.

 

Ce qui se passe donc dans la région Rhône-Alpes-Auvergne, aujourd'hui la plus touchée, c'est que le virus s'est répandu dans les campagnes et les petites villes qui avaient été épargnés. Cela passera donc.

 

Mais il est encore possible de regarder les choses d'une manière totalement différente. On peut par exemple écouter le professeur Perronne :

 

Vidéo youtube : Christian Perronne - "Si Macron avait montré les courbes officielles hier, il aurait été ridicule !"

 

Certains ont par exemple noté que la définition même d'une pandémie n'est pas quelque chose qui va tellement de soi... Je confesse ne pas avoir vérifié ceci, mais il a été dit plusieurs fois que, pour un classement en pandémie, il était admis jusqu'à récemment qu'il faut avoir une mortalité d'au moins 12%, or celle-ci s'établit aujourd'hui au grand maximum à 1% (encore un chiffre qui est fortement sujet à débat, j'y reviendrai). J'ai remarqué que plusieurs définitions et méthodes de calcul avaient été revus depuis la fin 2019, en matière d'épidémies, et cela me laisse songeur. Selon comment l'on se place, une pandémie peut aussi bien être n'importe quelle maladie pas forcément dangereuse se répandant partout (pan = tout), mais cela peut aussi être réduit, pour des raisons de communication et de santé publique, aux seuls fléaux capables de ravager des sociétés, avec mortalité très élevée. On comprend très bien qu'il n'est pas utile d'alerter l'opinion à propos des pandémies de rhumes qui circulent chaque année, et pourtant, les rhumes tuent aussi des gens. En fait, la létalité des rhumes s'établit à 8% sur des populations âgées avec comorbidités, et ce n'est pas rien... Ce n'est tellement pas rien que c'est en fait très proche de la létalité du covid-19 sur ces mêmes populations. Le covid-19 serait-il vraiment autre chose qu'un nouveau rhume un peu particulier, finalement ? Tout dépend comment l'on regarde les choses, quels chiffres on accepte de considérer, à quoi l'on compare, etc. D'ailleurs, si on regarde la courbe de décès plutôt que celle des cas, comme indiqué dans le deuxième lien de mon article, celle-ci est pratiquement plate depuis le printemps (avec une très légère hausse, certes).

 

Dès lors, si la définition d'une pandémie ne concerne que des fléaux graves, on peut affirmer plusieurs choses :

 

Il n'y a pas de deuxième vague, il n'y a d'ailleurs jamais eu de première vague, ni même de pandémie.

 

D'ailleurs, on ne sait pas vraiment ce que sont ces fameux « cas » qui ne donnent presque pas de nouveaux décès, et entendre ce que dit l'inventeur des tests PCR (décédé l'année dernière), de la manière dont ses tests sont (mal) utilisés, depuis déjà l'époque du SIDA, nous donne des indices que nous serions bien en train de fabriquer une épidémie artificielle largement basée sur des « cas » qui ne prouvent rien, puisque les tests PCR n'ont aucune valeur diagnostique :

 

Vidéo youtube : Kary Mullis : "Le test PCR ne permet pas de savoir si vous êtes malade"

 

Selon ce point de vue, si l'on avait considéré au départ ce virus comme tous les autres, ou encore si on ne l'avait remarqué qu'après son passage, comme cela est souvent arrivé avec des souches de grippe, jamais on n'aurait déclaré d'état de pandémie, ni constaté de surmortalité, d'ailleurs c'est un fait que la surmortalité est presque inexistante en 2020, selon les organismes spécialisés tels que l'INSERM, mais cela est valable aussi à l'échelle mondiale. La grippe de 2017 fut plus virulente que le coronavirus, et d'ailleurs les hôpitaux sont débordés chaque hiver depuis des années :

 

https://fr.sott.net/article/36178-Ce-n-est-pas-nouveau-chaque-hiver-les-urgences-sont-saturees-preuves-videos

 

Et sur ce sujet de la possible non existence d'une pandémie au sens où on l'entendait jusqu'en 2019, j'attire de nouveau votre attention sur l'analyse de Denis Rancourt, ici interviewé au Québec :

 

Vidéo youtube : Y'A T'IL EU UNE PREMIÈRE VAGUE DE COVID-19? ENTREVUE AVEC DENIS RANCOURT

 

 

Je crois que toute personne qui prétend exercer son esprit critique et vouloir se renseigner sur la situation actuelle, devrait absolument écouter ce qu'a à dire Denis Rancourt sur cette situation. Bien que je ne sois pas pleinement convaincu par son propos, je le trouve en revanche pleinement objectif dans la présentation de son hypothèse, certes choquante, d'un meurtre de masse pour expliquer le pic de mortalité de mars-avril, qui m'apparaît de plus en plus vraisemblable à mesure que j'y réfléchis. En effet, puisqu'il n'y a pratiquement aucune surmortalité générale par rapport à la norme des années précédentes, il est difficile de considérer, selon les arguments de Denis Rancourt, que le pic de mortalité printanier s'explique seulement par le virus, surtout lorsque l'on sait qu'il a effectivement existé beaucoup de gens classés morts covid-19 (il y avait des primes pour les hôpitaux), alors qu'ils sont morts de comorbidités graves telles qu'arrêts cardiaques, cancers, mais aussi de causes inconnues, ou même d'accidents ou de manques de soin, comme cela apparaît de plus en plus clairement, dans les maisons de repos pour personnes âgées du monde entier...

 

L'un des arguments les plus convaincants en ce sens vient, pour ma part, et paradoxalement, de la Suède, qui a connu une mortalité similaire, malgré l'absence de confinement, mais en revanche, les suédois ont signalé qu'il y avait eu des exceptions au niveau des maisons de repos, où les vieux ont été isolés de manière draconienne, et sont morts comme partout ailleurs en Europe, vraisemblablement par cause de l'isolement avant tout... Ce ne serait donc pas en soi le confinement qui serait le principal responsable du pic de mortalité, mais l'ensemble des mesures anti-sociales, qui ont tué par la démoralisation, le suicide, le glissement vers la mort, etc. Cela peut paraître étonnant, mais c'est certainement parce que nous méconnaissons et mésestimons l'importance du système nerveux pour l'espèce sociale que nous sommes, qui est relié aussi au système immunitaire, puisque tout est lié, chez un être vivant.

 

 

De très nombreuses contradictions

 

Beaucoup d'autres éléments rendent le débat désespérément confus. J'ai mentionné le problème de la létalité du virus, qui est au cœur de la situation, car de son estimation devrait dépendre les réponses politiques, mais cette estimation n'est même pas réellement prise en compte, dans ce domaine. A l'heure où les principales organisations de santé du monde placent cette estimation entre 0,2% et 0,5% (de plus en plus basse à mesure que le temps passe et que les estimations s'affinent), on continue de faire croire à une létalité beaucoup plus élevée, que les gens désinformés ont tendance à estimer entre 1% et 15%. Les chiffres des organisations de santé sont pourtant beaucoup plus réalistes, et descendent même jusqu'à une valeur extrême de 0,06%, dépendant encore une fois de la manière dont on compte. Rappelons, pour avoir un point de comparaison raisonnable, qu'en fonction de ces mêmes façons de compter, la létalité de la grippe saisonnière s'établit entre 0,01% et 0,3%, bien qu'elle monte parfois au-delà, pour certaines épidémies de grippe ponctuelles. On voit donc que nous sommes tout à fait dans les mêmes échelles de dangerosité, avec une valeur médiane qui l'on pourrait établir autour de 0,1% à 0,2% pour la grippe, et très proche de 0,3% pour le nouveau coronavirus.

 

Quant aux formes graves ou longues, il ne faut pas oublier que la grippe (mais aussi plusieurs autres maladies communes comme la borréliose, la mononucléose ou le cyto mégalo virus) donne aussi parfois des formes avec complications, parfois mortelles, fatigue sur des mois, etc. Et je ne pense pas que la grippe donne 80% de formes asymptomatiques, comme cela est aujourd'hui attesté pour le coronavirus.

 

Dans la communication, d'autres facteurs induisent la confusion. Ainsi de la communication sur les masques, que je n'ai pas besoin de rappeler, mais aussi et surtout sur la problématique générale du système de santé. Ainsi a-t-on descendu les lits de réanimation de 7000 à 5000 depuis la première vague, alors que, sauf erreur de ma part, il y en avait 5500 avant cette première vague... Nous aurions donc moins de lits de réanimation aujourd'hui qu'avant la crise. En tout cas, pas plus. Comment prenez-vous cela, alors que Macron explique aux personnels soignants qu'ils n'ont pas forcément besoin de plus de moyens, mais surtout d'une meilleure organisation. Qu'est-ce à dire ? Qu'ils doivent optimiser le peu de lits qu'on leur laisse dans un des pays censément les plus riches et « civilisés » du monde ? Alors même qu'ils sont déjà débordés chaque hiver par la simple grippe et les autres maladies respiratoires et hivernales ? Il semble que la solution à cet engorgement soit mathématiquement assez simple, mais c'est une simplicité qui, de toute évidence, échappe encore à nos technocrates en chef, qui préfèrent de loin ne rien faire d'utile ni de concret, pour plutôt culpabiliser la population, pour enfin les punir avec des mesures coercitives, comme s'ils pouvaient réellement quelque chose à la circulation du virus. Une distorsion de réalité supplémentaire... puisqu'il semble qu'en dehors de la Chine dictatoriale, avec son crédit social et ses habitants enfermés et scellés dans leurs propres logements pendant le confinement, aucun pays n'ait su endiguer réellement le virus, qui poursuit tout simplement son existence, comme tous ceux qui vivent avec nous, plus ou moins en harmonie, et qui ont ensemencé la terre entière :

 

https://www.topsante.com/medecine/votre-sante-vous/insolite/il-pleut-des-milliards-de-virus-tous-les-jours-624200

 

Je note tout de même en passant l'ironie de la communication sur les masques, qui ne sont pas un outil sanitaire, mais un outil de dissuasion (et accessoirement, de démoralisation) pour décourager les gens de vivre, se déplacer, se voir, comme cela a été avoué par différents gouvernements qui considèrent les masques avant tout comme symboliques. On observe la même chose avec la rhétorique sur le changement climatique, la transition dite écologique, qui servent de couverture pour abaisser la consommation d'hydrocarbures sans avouer que c'est parce qu'on en manque et qu'on en manquera de plus en plus. Ce stratagème avait commencé dès Thatcher avec l'industrie britannique du charbon, comme le savent ceux qui suivent ce sujet.

 

Pour défendre la politique absurde sur les masques et les différentes mesures, on aura vu de la pseudo-science à base de simulations, d'animations de postillons, les schémas de restaurants avec contamination en Chine qui continuent de dicter des politiques, à la façon de superstitions indéboulonnables. Nous sommes dirigés par des aruspices totalement paumés, et il semble en effet qu'on ne puisse plus changer de cap : lorsqu'une stratégie s'est imposée, elle continue d'être appliquée avec obstination, malgré ses échecs répétés et démontrés.

 

Parmi les autres et nombreuses arguties sophistiques pour défendre je ne sais quelle dérive, on aura aussi entendu qu'il est inutile de soigner cette maladie, puisque 98 ou 99% des gens survivent, même sans soins. S'il est inutile de soigner cette maladie, on se demande comment il se fait qu'elle sature nos hôpitaux, au point que c'est même le seul vrai problème de cette épidémie, qui ne tue pas réellement plus qu'une autre, mais qui s'y ajoute. On peut du coup souvent entendre de la même bouche que c'est une maladie très grave, mais qu'il est inutile de la soigner, puisque la majorité s'en sortent. J'ai beau vouloir écouter et comprendre tous les points de vue, en sachant qu'ils s'inscrivent tous dans une forme de perception du réel, je vous avoue qu'à un tel niveau de mauvaise foi et d'évitement de la dissonance cognitive, j'ai du mal à suivre...

 

Soit une maladie est grave et il faut la soigner, soit elle ne l'est pas, et il n'y a aucune raison de verrouiller la société... Le fait que des gens soient hospitalisés démontre qu'au moins certains ont besoin d'être soignés. Dans ce cas, la pirouette consiste à dire qu'intuber ou mettre sous oxygène est le traitement, et qu'il n'y a point besoin d'autre. Ce n'est vraisemblablement pas l'avis de la plupart des médecins. Certes, il y a des dissensions entre eux à cause de la politisation de la chloroquine, mais tous ont tenté de soigner, que ce soit avec du paracétamol, de la chloroquine, des antibiotiques, des minéraux, des vitamines, de l'oxygène ou encore de la cortisone, et la plupart du temps par un mélange de ces différents choix. Toutes ces méthodes semblent avoir un fondement médical plus ou moins bien justifié, mais personne ne s'est contenté de ne rien faire en regardant si les hospitalisés allaient mourir ou survivre. Quant à ceux qui n'ont pas été hospitalisés, et bien ils auraient pu prendre certaines plantes, ou certains traitements visant à consolider leur état et leur immunité pour les aider à résister à l'infection, et dans ce cas c'est le paracétamol qui aurait du faire polémique, car en réduisant la fièvre, il réduit la capacité du corps à lutter... Mais c'est sur la chloroquine que s'est focalisé l'un des nombreux débats qui auront divisé l'opinion ces derniers mois, pour des raisons de conflits d'intérêt inavoués qui n'auront pas suffisamment fait parler dans les médias...

 

En tout cas, dire qu'il est inutile de soigner cette maladie car elle fait de peu de mort, du côté des détracteurs de Raoult qui étaient aussi la plupart du temps dans le camp alarmiste est doublement intéressant, puisque cela révèle leur dissonance, et permet de comprendre qu'en effet, cette maladie est en fait très peu dangereuse pour l'immense majorité des gens. Que ce n'est, en revanche, pas une raison pour ne pas soigner les autres... Car cela ne serait nullement différent de laisser quelqu'un jouer à la roulette russe sous prétexte qu'il n'y a qu'une balle dans le barillet... Le métier d'un médecin est de soigner et intervenir, pas de tenir un carnet de statistiques morbides semblable à celui de monsieur Salomon.

 

Pour en terminer avec ce chapitre, un dernier point sur la fausse dichotomie humains versus économie. Je m'insurge vraiment quand je lis des gens qui croient que le gouvernement a, lors du confinement, vertueusement laissé l'économie de côté en privilégiant la vie humaine. En fait, ces gens ont laissé un grand nombre de travailleurs aller prendre des risques, tout en assignant à domicile les autres, qui se contaminaient entre eux. On a donc sacrifié que l'économie des PME et des petits libéraux en général, tandis que les grosses sociétés se gavaient. On refait le même coup avec le couvre-feu, et bientôt le re-confinement régional, qui à mon avis ne tardera pas à suivre, lorsqu'on regarde les critères adoptés pour le décider...

 

Or, en procédant ainsi, on détruit et l'économie, et les vies humaines, à court et à moyen terme.

 

En détruisant les moyens de subsistance de millions de français, on les fragilise, voire on les envoie à la mort immédiate ou avec délai. On sait que l'arrêt partiel de l'économie va tout simplement doubler la faim dans le monde, multiplier les suicides, et ainsi de suite. Et quand tous les gens envoyés au chômage et sans perspective, dont beaucoup étaient des employés ou des chefs d'entreprise responsables et qui se battent jour après jour pour vivre dignement d'une activité respectable, s'ajouteront à la masse déjà énorme des chômeurs et autres inactifs dans notre société, cela sera peut-être le coup de grâce pour nos systèmes d'aide sociale déjà menacés depuis longtemps à travers la rhétorique du « trou de la sécu ». Est-ce le but ? Est-ce une étape vers la destruction du système social et économique occidental, en vue d'installer autre chose ? C'est ce que pensent certains, comme par exemple ici :

 

https://lesakerfrancophone.fr/covid-19-epidemie-de-fraude-1-2

 

http://versouvaton.blogspot.com/2020/10/covid-19-epidemie-de-fraude-22.html

 

http://versouvaton.blogspot.com/2020/10/du-confinement-au-grand-reset.html

 

https://claude-rochet.fr/la-gouvernance-par-le-virus/

 

https://fr.sott.net/article/36153-Ca-y-est-il-est-la-Des-aeroports-commencent-a-tester-le-passeport-COVID-qui-indiquera-si-une-personne-a-ete-vaccinee-avant-le-voyage

 

Et sur les riches qui sortent encore à leur avantage de la crise :

 

https://francais.rt.com/economie/79477-milliardaires-grands-gagnants-de-la-crise-covid

 

 

 

Le risque du totalitarisme

 

Nous voyons donc s'esquisser cette dictature sanitaire. Passeports de vaccination, gestion par la peur et la coercition sans concertation citoyenne ou démocratique, manipulation des chiffres et de la psychologie d'une manière générale, avec revirements de communication, mais aussi une censure de plus en plus échevelée des réseaux sociaux, de youtube, etc., où énormément de chaînes ont été purement et simplement supprimées, avec un mépris total pour la liberté d'expression, puisque ce sont parfois même des radios ayant pignon sur rues qui se voyaient censurées, dès lors qu'elles donnaient simplement la parole à telle ou telle personne « controversée ». Ainsi, être « controversé » suffit aujourd'hui pour qu'on vous interdise la parole, le curseur s'étant déplacé vers l'extrême de manière perceptible...

 

Et comme toujours, la peur comme l'espoir sont les principaux ressorts de la manipulation. Peur du virus, peur du gendarme, peur de l'ostracisme, et espoir de la fin de la crise, espoir d'être libéré des contraintes et bâillons, espoir d'un vaccin, espoir d'un renouveau, d'un monde meilleur, du retour des bons moments conviviaux, etc., tout ceci étant brandi comme un chantage implicite mettant en pression les comportements, infantilisant et culpabilisant des populations d'adultes indépendants et responsables, qui du coup se trouvent des petits kapos pour préférer être du bon côté de la matraque, plutôt que du côté des infantilisés.

 

https://fr.sott.net/article/36147-C-est-ainsi-que-commence-un-Etat-policier

 

https://fr.sott.net/article/36173-Apres-le-nazisme-le-covidisme

 

Mais il existe encore de réels espoirs, tant qu'il existe de véritables résistants à ce néo-totalitarisme faussement bienveillant (car Big Brother ne vous flique pas, il veille sur vous), comme ce mouvement allemand qui s'apprête à mener une vaste action en justice contre plusieurs gouvernements, pour crime contre l'humanité, sur la base de toutes les dérives pseudo-sanitaires ayant en fait entraîné des pertes humaines et des dégâts incommensurables sur nos sociétés :

 

https://www.mondialisation.ca/un-avocat-allemand-denonce-la-crise-du-coronavirus-et-parle-de-crime-contre-lhumanite/5649921

 

C'est vraiment l'une des actions les plus importantes actuellement, que je vous encourage à suivre, d'autant qu'il serait possible, et pourrait s'avérer utile, de rejoindre ce mouvement qui est de portée internationale.

 

Et si vous ne croyez pas à ce risque totalitaire, que vous êtes absolument persuadés que tout cela n'est que temporaire, rappelez vous que vigipirate dure depuis le siècle précédent, et que les dispositions d'urgence ont de plus en plus tendance à s'inscrire dans le droit commun perpétuel. Et notez bien les paroles de notre cher président saturnien : «  on s'était progressivement habitués à être une société d'individus libres ». J'aime beaucoup le « progressivement », comme si cela était une sorte de dérive irréaliste et utopique qui s'était lentement et pernicieusement inscrite dans nos vies, une mauvaise habitude, un vice de l'esprit, et non pas un fondement absolu et indiscutable de nos sociétés occidentales. Nous préparerait-on à l'obsolescence consommée de notre démocratie, qui montrait déjà tellement de signes de faiblesse et d'usure sous les coups de boutoir des technocrates libéraux ? Nous ne serions donc pas capables de vivre avec une nouvelle maladie comparable à la grippe ? Plus capables de dimensionner notre système hospitalier à une menace finalement si commune ? Et donc, la seule réponse serait de devenir cette «  nation de citoyens solidaires », selon la perspective inhumaine de la ruche ou de la termitière ? Solidaires, déjà nous sommes. Peut-être pas assez, mais ce n'est pas l'individualisme transhumaniste, non, qui nous amènera vers plus d'amour... au contraire.

 

Résumé et conclusion

 

Peut-être croyez-vous que cette épidémie est une calamité de haut niveau qui mérite de nous mettre à genoux et de mettre à bas nos siècles de civilisation et de construction démocratique.

 

Peut-être croyez-vous que cette épidémie n'a même pas existé, ne tue plus personne, qu'il faut simplement vivre comme avant le confinement.

 

Dans tous les cas, les dégâts sur la société ont déjà été faits. Les responsables sont les laveurs de cerveau qui nous servent de gouvernement et de médias, et qui ont employé toutes les ficelles de l'ingénierie sociale pour faire accepter n'importe quoi. Rappelons nous que nous avons pratiquement tous cru – avec plus ou moins de ferveur – au confinement, et nous l'avons tous pratiqué, de gré ou de force. Nous vivons dans une réalité qui est une, et nous jetons dessus des perceptions partielles et partiales qui radicalisent le débat et empêchent – à vrai dire – ce débat.

 

Ne me situant dans aucun camp, n'étant, une fois de plus, ni « pro » ni « anti », mais ayant certes une opinion qui est la mienne, je considère pour ma part qu'il y a bien eu une épidémie, puisque des gens en sont malades ou décédés, et qu'elle n'est pas totalement terminée, même si ce serait bien le cas si l'on prenait les anciens critères telles qu'ils étaient... Toutefois, cette maladie est d'une virulence tout à fait commune, qui ne justifie aucunement la destruction sociale et économique en cours, et je considère que les mesures prises sont non seulement exagérées et incohérentes, tout en étant – chacun peut le constater – totalement inefficaces. Face à la réalité, nous devrions revenir à la raison, et adopter enfin une attitude fonctionnelle... Continuer à vivre, tout en protégeant les personnes fragiles, ce qui est le seul véritable enseignement que nous devrions retenir de cette crise. Au lieu de cela, les mesures créent un chaos impressionnant qui envahit les moindres parcelles de nos vies, ce qui est bien évidemment insupportable pour quiconque arrive à mesurer réellement la situation.

 

Toutefois, je prends les choses avec de plus en plus de philosophie. Ce virus aura révélé les inconsistances et le manque de résilience de nos sociétés. La technocratie patauge, n'offre aucune solution scientifique viable, et ne sait en fin de compte qu'user de coercition à l'ancienne, ce qui nous donne l'occasion de contempler, et pour certains de découvrir, son véritable visage.

 

Saisissons donc cette opportunité pour choisir. Voulons-nous être une société d'entités biologiques sans libre arbitre, soumises aux impératifs de la nouvelle « biosécurité », ou voulons-nous fermement demeurer des individus libres ? Car être libre n'empêche ni d'être solidaires, ni d'être fraternels. Au contraire, nous voyons que cette dictature sanitaire fait surtout apparaître des donneurs de leçons, des tensions, de la condescendance, des petits chefs ayant enfin leur petit moment de gloire, et qu'elle aura fait disparaître tant de moments de joie et de convivialité. Temporairement, espérons-le, mais ne nous contentons pas d'espérer car l'espoir, je l'ai dit, est un piège. Faisons aussi ce qu'il faut pour que cela se passe ainsi... sinon il nous faudrait enfin reconnaître que nous sommes co-responsables des malheurs que les décideurs font peser sur nous, et que, jusqu'à présent, je ne vois guère contestés.

 

 

 

 

Annexes

 

Enormément d'articles et autres vidéos me sont passés sous les yeux, alors je les partage ici pour ceux qui seraient intéressés et auraient le temps de s'y plonger à leur tour, pour approfondir et préciser leur perception de cette situation incertaine et confuse.

 

Je mets tout en haut ce propos de Fabrice Luchini, que j'ai trouvé lumineux, très courte vidéo à écouter :

 

https://putsch.media/20201016/actualites/societe/video-fabrice-luchini-etrille-le-gouvernement-et-son-couvre-feu/

 

Le lien vers l'association bon sens, à laquelle j'ai adhéré, qui se propose de travailler avec intelligence en faveur de meilleures perspectives d'avenir, allant à l'encontre de la technocratie en roue libre aujourd'hui en place :

 

https://bonsens.info/

 

Le lien vers l'institut épidémiologique IRSAN du docteur Toubiana, pour là aussi d'autres perspectives sur les épidémies :

 

http://recherche.irsan.fr/

 

Quelques nouvelles en vrac, en lien avec la gestion catastrophique, ses conséquences, la communication, etc. :

 

https://francais.rt.com/france/79741-education-nationale-a-t-elle-fourni-masques-dangereux-enseignants

 

https://www.20minutes.fr/societe/2767239-20200424-coronavirus-oui-armee-francaise-bien-commande-chloroquine-precaution

 

https://bonsens.info/les-repercussions-psychologiques-de-la-politique-sanitaire-actuelle-sur-les-enfants-et-les-adolescents/

 

https://fr.sott.net/article/36165-Covid19-Ne-nous-faisons-pas-d-illusions-la-vie-des-gens-est-en-train-d-etre-detruite

 

 

D'autres liens qui ont alimenté ma réflexion. Par exemple, la chaîne youtube d'une psychologue canadienne à la retraite, vivant aujourd'hui en Suède, et apportant donc des éclairages sur la situation de ces deux pays, entre autres, et alors que les sciences humaines sont aujourd'hui totalement mises de côté dans cette crise :

 

Vidéo youtube : Le mensonge et l’avenir

 

Un article sur le site de JD Michel, que je continue de recommander chaudement :

 

https://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2020/10/06/covid-et-medecine-vers-plus-d-humanite-309599.html

 

Une conférence de Slobodan Despot, sur notre rapport à la nature, qui n'est pas sans lien avec les problématiques du moment :

 

Vidéo youtube : La nature, notre philosophe intérieur par Slobodan Despot

 

 

Et deux réflexions de fond pour clore ceci :

 

https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-verite-principale-victime-du-227698

 

https://www.dedefensa.org/article/notes-sur-lapocalypse-covid

 

 

Merci à vous de votre lecture, portez vous bien, et déconnectez-vous de la propagande gouvernementale et médiatique, principale responsable de la confusion et de l'agitation ambiante. Ne vous focalisez pas sur ce virus, il n'est qu'un danger – relativement mineur – parmi tant d'autres, dont le totalitarisme sécuritaire et pseudo-sanitaire qui est déjà en marche, et aura bien plus d'impact sur nos vies, sur le long terme, si jamais nous permettions qu'il advienne.

 

 

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