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L'Oeil du Selen
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9 août 2021

De la tyrannie et des apprentis sorciers à l'échelle de la population planétaire

 

Aujourd'hui 9 août 2021, date annoncée de la promulgation de la loi sur l'extension du pass sanitaire qui instaure une ségrégation de fait au sein de la population française, au même moment où celle-ci est secouée par des manifestations d'ampleur historique. En total décalage avec les chiffres officiels qui veulent réduire ce mouvement à quelques centaines de milliers, bien que toujours en augmentation à chaque semaine, il semble selon d'autres sources moins publiques qu'il s'agisse plutôt d'un minimum de 3 millions de français qui protestent désormais, lors des deux derniers samedis au moins. Rappelons qu'en décalage avec les sondages mis en avant par le gouvernement qui parlent de plus de 60% de satisfaits par le pass sanitaire, d'autres sondages parlent de 40% de soutiens aux manifestants plus 50% qui les comprennent. Changez les questions, et vous changez totalement la perspective, phénomène bien connu dans le domaine des sondages, qui permettent toujours leur instrumentalisation politique.

 

Je voulais depuis plusieurs jours écrire cet article pour justifier ma position, expliquer mon rejet de la vaccination obligatoire en mettant en avant mes estimations chiffrées du rapport bénéfices risques suite à mes recherches, mais j'ai finalement estimé que ce serait quelque chose de déplacé à faire. Je vais plutôt mettre différentes sources et articles sur ce sujet ainsi que sur d'autres, en fin d'article avec quelques commentaires, et me lancer dans une réflexion plus philosophique.

 

Tout ce que je peux dire ici, et j'ai d'excellentes raisons de le craindre et tant pis si cela dérange des convictions, c'est que j'en suis venu à estimer que les vaccins allaient vraisemblablement faire plus de victimes que le coronavirus, au moins chez les plus jeunes, et en particulier si on considère les effets graves invalidants à vie qui se multiplient dans des proportions jamais vues, selon des chiffres officiels dont on sait, de l'aveu même des décideurs, qu'ils sont pourtant sous-estimés.

 

Mais au-delà de ce fait, absolument révoltant alors que dans d'autres circonstances on aurait déjà retiré du marché ces produits (on l'a fait dans bien d'autres cas bien plus tôt, avec cent ou mille fois moins de dégâts), je voulais me distancier de ma propre peur, ne serait-ce que pour éviter de la répandre autour de moi, ne pas la cristalliser, ne pas en faire un dogme à son tour, et tenter de prendre de la hauteur.

 

 

J'ai notamment écouté attentivement les propos de Michel Rosenzweig, philosophe belge de confession juive (liens dans les annexes), et j'ai entendu son point de vue à propos des références à la shoah, qu'il comprend en tant qu'analogies mais qu'il trouve excessives, et il a certainement raison. Il est bon d'éviter de tomber trop facilement dans les comparaisons hasardeuses, même si elles peuvent avoir une certaine pertinence, et de comprendre que depuis la seconde guerre mondiale, le monde a beaucoup changé, si l'humain est en revanche resté le même.

 

La politique a changé, la science a changé, la sociologie a changé, les médias ont changé, bref tout a changé et le contexte s'est donc largement modifié lui aussi. Il nous faut apprendre à saisir les particularités du moment, ou vérités de situation comme dirait Philippe Grasset (de dedefensa.org, dernier de mes liens en annexe). Sortir de la tentation des analogies faciles, qui se révèlent comme des mémoires traumatiques de l'histoire, et quelque part comme des paréidolies de la mémoire. Savoir conserver la mémoire de cette histoire pour ne pas reproduire inlassablement les mêmes erreurs, mais savoir aussi réinterpréter les choses dans un contexte toujours renouvelé.

 

 

Je me suis aussi demandé s'il était opportun, comme on pourrait discuter jusqu'à la fin des temps les chiffres de la pandémie qui sont de toute façon incertains, et pointent plutôt en direction de nos peurs qu'en direction de faits irréfutables, s'il était opportun, donc, d'ergoter à l'infini sur la justesse ou l'impertinence de termes tels que « dictature », et tout le champ sémantique afférent : totalitarisme, tyrannie, autoritarisme, et j'en passe.

 

Je n'ai pas conclu sur ce sujet. Le plus pertinent serait sans doute de donner un nom précis et adéquat au totalitarisme moderne, imprégné d'idéologie transhumanisme, elle même baignée dans une idéologie capitalo-libérale, et peut-être employer l'un de ces préfixes qui modifient la saveur des mots, tels que post, comme dans post-vérité ou post-modernisme, ou néo, comme dans néo-libéralisme ou néo-fascisme. Seulement voilà, on se perd dans ces mots et dans ces concepts, et l'on se noie dans notre rationalité, dans ce que j'appellerais notre raison raisonnante, qui résonne tellement qu'elle se fait écho à elle-même, et finit en d'infinies considérations sémantiques cherchant à appliquer le mot le plus juste à quelque chose que l'on peut, en fait, résumer à un ressenti qui est toujours le même.

 

Ce que je veux dire, c'est que la notion de dictature n'est pas qu'une question objective, de définition du sens des mots. C'est aussi quelque chose qui se ressent dans sa chair, dans son esprit, dans ses rêves, lorsque tout est obscurci, que la raison n'arrive pas à pointer les choses et à les nommer clairement, mais que les tripes, elles, savent. Elles savent qu'il y a eu une atteinte de l'être, du corps à travers l'esprit, qu'un coup a été porté à la liberté sacré de cet être qui unit ce corps et cet esprit, et toute autre composante à laquelle on voudrait bien penser, en fonction de ses conceptions ou de ses croyances.

 

La dictature, en somme, c'est quand on opprime. Qu'on le fasse directement, militairement, ou de manière détournée, pernicieuse, y compris et peut-être notamment aujourd'hui par la propagande, par les mots creux et par les injures qui viennent aujourd'hui du pouvoir à l'encontre du peuple.

 

De même, lorsque la raison ne peut juger et trancher une situation, amener une décision claire, elle s'abstient et ce sont les tripes qui s'en mêlent et qui rappellent à cet esprit borné par la raison raisonnante qu'il faut respecter ce quelque chose de sacré qu'il y a en chacun de nous, que la vie n'est pas quelque chose avec quoi on joue à la roulette, et que pour qu'il y ait vie, il doit y avoir mouvement et par conséquent, liberté. Liberté de mouvement et liberté d'être. Liberté implique dangers, et survie implique plus souvent la prudence. Difficile équilibre, intime, sur lequel on ne devrait laisser personne d'autre que soi-même imposer une volonté, sans quoi on se livre potentiellement à un criminel, qu'il s'ignore ou qu'il s'assume, qu'il le soit par faiblesse ou par volonté.

 

Nous vivons aujourd'hui un mouvement totalitaire et au fond, peu importe le nom qu'on lui donnera. Ce qui compte c'est qu'il y a eu ce virage qui fait que, d'un totalitarisme rampant tel que je le décrivais les dernières années dans une de mes séries d'articles, on est passé d'un totalitarisme sanitaire avoué qui s'exprime avec une violence incroyable pour nous, et avec une démence qu'il me semble de plus en plus difficile de dénier.

 

Dès lors, il importe de le dénoncer, de le nommer comme on le ressent, et de le combattre, car il en a après nous.

 

Il semble que le basculement tyrannique se caractérise souvent par sa soudaineté et sa violence. Et bien nous y sommes. Et ce que vise la tyrannie c'est l'intimité, car c'est celle-ci qui permet la pensée libre et autonome, l'existence pleine et entière de l'être, et un être libre est une menace pour toute tyrannie, en cela qu'il la défie, qu'il la ridiculise, qu'il incarne par avance sa chute. C'est pourquoi toute tyrannie, toute dictature, qu'elle soit militaire ou qu'elle se fasse par la communication et le langage, se définit par l'extension du contrôle, pouvant aller jusqu'à la vie privée. C'est à cela qu'on la reconnaît, et c'est à cette destruction du secret médical et du principe de consentement que l'on sait que nous y sommes. Le totalitarisme ne rampe plus, il s'est dressé devant nous et contre nous, êtres humains libres par essence. Et ne nous berçons pas d'illusions, il ira aussi loin qu'il peut, aussi loin que nous le laisserons aller.

 

Alors préservons, pour commencer, notre intimité et notre vie intérieure, pour rester centrés sur ce qui vient d'autre chose que de la raison raisonnante et des émotions primaires : intuitions et sensations. Quand les tripes parlent, elles nous avertissent de tout mécanisme d'emprise.

 

Le gouvernement a notamment beaucoup mis en avant cette notion de « pédagogie », qui est le nom politiquement correct que l'on donne à la manipulation mentale de masse, dans nos systèmes, et c'est l'occasion de ressortir encore mon vieil article paru sur agoravox :

 

https://www.agoravox.fr/actualites/citoyennete/article/l-abus-de-pedagogie-peut-nuire-a-55622

 

La pédagogie en politique, cet avatar du lavage de cerveau que des gens qui prétendent avoir autorité et légitimité font peser sur une population qu'ils infantilisent par ce terme. On a prétendu faire usage de cette pédagogie pour expliquer aux personnels soignants rétifs pourquoi ils doivent absolument se faire vacciner. Excusez-moi, mais des politiciens qui prétendent expliquer la médecine à des médecins, vous ne voyez pas un problème ?

 

Que les décideurs politiques aient une stratégie sanitaire en tête, soit. Qu'ils veuillent l'expliquer et convaincre de son utilité, soit. Mais qu'ils traitent leur population comme une masse d'idiots sans formation, non. Il y a dans la population plus de connaissance qu'il n'y en aura jamais dans les gouvernements incompétents que nous nous traînons depuis des décennies, qui sont aux proies des lobbies et des conflits d'intérêt et qui n'ont jamais rien entrepris contre cela. Par conséquent, subir leur « pédagogie », c'est en réalité subir leur hypnose. L'instinct de survie, les tripes, mais aussi l'intelligence, doivent nous en garder absolument. Nous sommes capables de juger leur politique et de juger leur stratégie, et de constater qu'elle ne fonctionne pas, et que faire plus de ce qui ne fonctionne pas ne permettra pas d'obtenir un meilleur résultat, car nous ne raisonnons pas comme des shadoks, et car nous voyons que nos décideurs sont pris au piège de leur propre dynamique sur laquelle ils n'osent revenir, ne sachant en réalité quoi faire.

 

 

Nous devons nous détacher de ces politiciens qui nous entraînent avec eux vers la chute inexorable, à terme, de leur régime anti-humain et purement technocratique. Pour aller vers une situation plus saine, il nous faut aller vers une dimension globale/holistique. Cette crise pourrait être et devrait être le ressort pour aller de plus en plus dans cette direction. La vie, et l'humanité, en effet, sont des « machines à apprendre ». Or, dans cette crise, il y a ceux qui se rangent derrière une doxa borgne et n'apprennent rien, répètent mécaniquement les mêmes erreurs, ne pensant qu'à se sauvegarder en pensant que l'épidémie résume le monde d'aujourd'hui, alors qu'elle n'est qu'une nouvelle donnée, et ceux qui prennent en compte cette nouvelle donnée dans leur système d'apprentissage, et ne s'en laissent pas compter : ils continuent d'avancer sans vivre dans une peur excessive, mais simplement dans une prudence mesurée.

 

D'ailleurs, qu'arriverait-il si une seconde catastrophe venait se plaquer sur celle-ci ? Imaginez-vous le chaos mondial que cela pourrait engendrer, alors que nos gouvernements, ne sachant déjà pas comment gérer cette nouvelle donnée, se précipitent sur les fausses solutions de facilité que sont les mesures restrictives et les vaccins sous contrainte, incapables d'imaginer que, pour la solution comme pour le problème, il faut prendre en compte la complexité du monde ? Si le problème est complexe, la solution a peu de chances d'être simple. Ce simplisme engendre un véritable carnage, car nous sommes essentiellement dirigés par une caste déconnectée du monde, pourvue uniquement de solutions technicistes unidimensionnelles, et dépourvues d'une vision globale des choses.

 

Et même si une autre catastrophe ne venait pas s'empiler, qu'arriverait-il des libertés si la maladie ne devait jamais disparaître ? On ne cesse de nous dire que tout cela n'est que temporaire et que l'état d'urgence se terminera en novembre, alors qu'on ne fait qu'énumérer les « vagues » les unes après les autres. Attali avait même parlé, au tout début de la crise, de 8 confinements. Excusez-moi mais ces gens ont-ils une boule de cristal ? Sont-ils si aveugles au fait que si l'on applique ces mesures aujourd'hui il n'y a pas de raison qu'on ne continue pas à les appliquer jusqu'à la 8e ou la 80e vague ? Temporaire mais pour plusieurs générations ? Il faut revenir sur Terre urgemment... et accepter que le monde est dangereux mais qu'il ne se résume pas à ça, et que nous devons faire avec, réapprendre à vivre avec une nature que, quoique nous croyons, nous ne savons pas maîtriser.

 

Car la sagesse est souvent dans le renoncement et l'acceptation. A commencer par l'acceptation que nous avons eu une mauvaise stratégie, alors que des pays d'Asie ont, eux, des bilans en terme de victimes qui parlent pour eux-mêmes. Et même si nous ne sommes pas des asiatiques et que les mesures restrictives collectivistes nous paraissent insupportables, réaliser que nous avons en fait subi bien pire que ces pays qui, eux, n'ont généralement pas confiné et peuvent obtenir, avec d'autres mesures, des bilans 10 ou 100 fois meilleurs que les nôtres. Sommes-nous si orgueilleux que nous ne savons pas le voir ? Même la Chine, que nous prenons en exemple pour certaines choses, tout en la dénonçant comme une infâme dictature, n'a jamais ni confiné sa population entière ni imposé à la vaccination. Ils ont même dit que nous étions fous de faire ça. Faut-il rappeler, même si ça vaut ce que ça vaut, que les tests de QI donnent des meilleurs résultats chez les peuples asiatiques que chez les peuples occidentaux ? Nous aurions grand besoin d'humilité, parfois.

 

En tout cas, je vais vous laisser sur ces ébauches de réflexion, qui hélas ne m'emmènent pas encore bien loin dans mes idées de reconstruction d'un monde plus sain avec l'aide des bonnes volontés qui sont déjà en quête de cela, en terminant par deux citations tirées du dernier article de dedefensa.org (voir annexes), notamment celle-ci où Philippe Grasset qualifie une fois de plus notre système d'anti-civilisation :

 

« ... Que cette anti-civilisation ait laissé prospérer une totale inversion de la perception par sa propre autocensure éhontée de la vérité du monde, par le développement de mouvements sociétaux d’une puissance aussi étonnante de dynamisme que la bêtise monstrueuse qui les structure (wokenisme et le reste), on ne le comprend qu’à la lumière de l’incroyable débâcle de la science et de ses fabulations de connaissance opérationnalisées face à une pandémie comme celle du Covid 19... Covid aurait dû normalement passer-muscade sans publicité, comme au temps des grippes asiatiques et de Hong-Kong ; au lieu de quoi l’on en a fait bien pire que la peste noir en termes de bouleversements civilisationnels par la grâce étrange de la bouffonnerie des élitesSystème et vaccinées... Si ce n’est, cela, une accélération fatale de l’effondrement et la plus terrible vacherie que les dieux réservaient à la modernité-tardive ! »

 

 

Ou encore celle-ci, provenant d'une membre du parti LR, pourtant un parti très porté sur les restrictions d'une manière générale :

 

« Plus que jamais il est urgent de relire les travaux fondamentaux de Pierre Clastres et notamment ‘La société contre l’État’ et de retrouver la distance nécessaire face à des États tout puissants, deus ex-machina ivres de publications scientifiques, contradictoires et incertaines pourtant. Aujourd’hui, il faut stopper cette machine folle liberticide dans laquelle nous avons été les esclaves volontaires et retrouver le bon sens des Indiens Guayaki face aux dérives d'une centralisation excessive du pouvoir. La crise Covid est une crise anthropologique majeure contre laquelle il faut réagir rapidement et collectivement pour ne pas devenir des îlots de familles apeurées et contrôlées, incapables de faire société, par peur de la mort. Finalement, je préférais le “il est interdit d’interdire”, au nouveau monde dont l’adage semble être “il est interdit de ne pas interdire”. »

 

Je vous souhaite en tout cas, et nous souhaite à tous, beaucoup de courage dans cette période très sombre. Du courage, de l'endurance, et de la noblesse d'âme. Car nous aurons bien besoin des trois, et de plus encore.

 

 

 

 

 

 

Annexes

 

 

https://fr.sott.net/article/37705-Efficacite-entre-19-et-29-Voici-l-etude-qui-analyse-les-donnees-reelles-des-produits-experimentaux-nommes-vaccins-anti-Covid-de-Pfizer-et-Moderna

 

https://fr.sott.net/article/37702-Une-lanceuse-d-alerte-du-gouvernement-americain-signe-une-declaration-sous-serment-affirmant-que-plus-de-45-000-personnes-sont-mortes-en-raison-du-vaccin

 

https://fr.sott.net/article/37739-Les-deces-associes-aux-vaccins-anti-Covid-sont-exceptionnellement-eleves-Le-pasteur-Hoegger-denonce-le-silence-coupable-des-autorites

 

https://fr.sott.net/article/37689-L-etude-de-Pfizer-sur-la-vaccination-des-enfants-12-15-ans-mentionne-des-effets-neurologiques-graves-et-des-conduites-suicidaires

 

 

Je cite ce passage avec lequel je suis en plein accord :

 

"Comme le fait remarquer une internaute sur Twitter : « Notez que le problème est l'exacerbation potentielle [d'un état] d'anxiété et de dépression post vaccin. Le fait que Pfizer tente une explication n'est pas une preuve, et la non-mention du problème par le Vidal/EMA est injustifiée. »
On notera également que lorsqu'il s'agit d'attribuer un décès au Covid, le lien est immédiatement établi, en prenant soin d'ignorer tout facteur aggravant ou autre cause potentielle, comme les comorbidités. Par contre, quand il s'agit de considérer la possibilité d'une aggravation d'un état préexistant - comme un état dépressif - suite à l'administration d'une injection Covid, on balaie tout lien de cause à effet d'un revers de la main.
"

 

 

Je note également en passant qu'il se confirme que certains effets secondaires sont "caviardés". Une pratique totalement scandaleuse, mais qui fait partie depuis longtemps de la normalité des faits. Si certaines personnes ne comprennent pas pourquoi on nous cacherait des choses, elles gagneraient peut-être à au moins considérer les faits : même si on ne sait pas pourquoi, on nous en cache. Et les raisons ne me semblent pas si mystérieuses... fric et influence. Business as usual. Les seules explications pour ne pas vouloir voir cela sont donc la naïveté et/ou l'envie de croire aux vaccins. Rien de rationnel là-dedans.

 

Par ailleurs, il faut se rappeler que les boites qui ont ces pratiques ont déjà été condamnées pour ce type de pratiques malhonnêtes comme des pots de vin, trafics d'influence et utilisation de produits cancérigènes et toxiques connus dans leurs « remèdes », pour des milliards de dollars. Ce n'est donc pas quelque chose qu'on découvre ou qu'on invente, ni qui soit nouveau. Ce ne sont d'ailleurs pas que des « complotistes » cachés derrière leurs ordinateurs qui le disent et le pensent, mais aussi des politiciens influents dans certains pays, qui dénoncent certaines politiques et certaines stratégies qui ne vont pas dans le sens de l'intérêt général, c'est le moins qu'on puisse dire :

 

https://www.bastamag.net/Vandana-Shiva-fondation-Bill-Gates-philanthropie-capitalisme-neo-colonialisme-covid-Inde

 

 

Par ailleurs, sur le thème de la censure, de la pensée unique et du terrorisme intellectuel :

 

https://fr.sott.net/article/37721-Chasse-aux-sorcieres-victime-de-menaces-le-Dr-Mercola-est-contraint-de-SUPPRIMER-le-contenu-entier-de-son-site-Web-le-fruit-de-25-annees-de-travail-reduit-en-fumee

 

 

Autres sources de réflexion :

 

A propos des traitements du covid :

 

https://bonsens.info/parcours-dun-covide-en-colere-contre-lordre-des-medecins-il-agit-avec-bonsens-org/

 

Sur l'illégalité du pass sanitaire et les recours en justice, quelques éléments :

 

https://www.eurojuris.fr/categories/droit-europeen-droit-communautaire-9400/articles/pass-sanitaire-non-conformite-droit-union-europeenne-40559.htm

 

https://nopass.fr/

 

Sur la géopolitique et la psycho-sociologie du virus :

 

https://fr.sott.net/article/37741-Un-peu-de-verite-en-ces-temps-de-mensonge-universel

 

Luc Montagnier estime que de nombreuses erreurs, notamment dues aux distorsions politico-médiatiques, engagent ni plus ni moins que l'avenir de l'humanité :

 

https://fr.sott.net/article/37733-Une-erreur-strategique-qui-impacte-l-avenir-de-l-humanite-appel-du-Pr-Luc-Montagnier

 

Michel Rosenzweig assume que nous ne reviendrons jamais à ce que nous appelons la « normalité » :

 

https://fr.sott.net/article/37725-Penser-que-l-on-va-revivre-normalement-est-une-arnaque

 

 

Sur notre capacité d'autonomie, qui risque de s'avérer de plus en plus capitale, par les temps qui courent :

 

https://fr.sott.net/article/37691-Il-est-temps-de-reveiller-le-medecin-qui-sommeille-en-nous

 

Extraits :

 

« De ce fait indéniable, un schisme se forme de plus en plus visible et audible dans la population entre ceux qui focalisent sur l'agent microscopique, ce que les scientifiques en démontrent, ce que les économistes en développent et ce que les politiciens majoritaires en déduisent, attitude qui ne reflète pas la disposition d'esprit qui anime les gens attentifs à une perception globale d'eux-mêmes et panoramique de leur environnement. »

 

« il faut sortir de cette logique très techniciste qui fait qu'aujourd'hui notre seule obsession, c'est de trouver un vaccin et un médicament. La pandémie actuelle a révélé l'état de santé dramatique des populations, et l'origine sociétale plus qu'individuelle des comorbidités. Ne serait-il pas temps de s'attaquer aux maladies chroniques, à l'alcoolisme, au tabagisme, à la malbouffe, plutôt que de n'agir qu'en aval et préconiser une vaccination de masse.......C'est la double empreinte millénaire de la matrice chrétienne de la domination de l'humain sur la nature et séculaire de capitalisme prédateur, de foi suicidaire dans le «progrès» technique et scientifique qu'il faut revisiter. Et rompre avec l'anthropocentrisme au profit d'un biocentrisme gage d'une vraie solidarité avec l'ensemble du vivant. »

 

 

Enfin, deux articles de fond. Sur la notion fallacieuse de consensus scientifique que j'ai déjà largement battue en brèche sur ce blog comme étant un concept politique et non pas scientifique :

 

https://fr.sott.net/article/37735-Le-concept-de-consensus-scientifique-est-il-vraiment-scientifique

 

Et ce magnifique article de dedefensa qui conclut fort bien le mien, avec cette sagesse et cette distance non dépourvue de prise de position philosophique, que j'aspire à atteindre un jour, si je vivais assez longtemps et que la vie me donnait cette force d'âme :

 

https://www.dedefensa.org/article/colere-insoutenable-legerete-du-vaccin

 

J'avance aussi l'argumentation d'Ingrid Courrèges sur le pass sanitaire :

 

Vidéo youtube : PASS SANITAIRE - Ma Décision

 

Enfin, une vidéo à voir absolument si vous voulez réfléchir en profondeur sur les problèmes de droit, de liberté et de légitimité qui se posent en ce moment, et pour réfléchir à des bases plus saines dont nous aurons un très grand besoin à l'avenir :

 

Vidéo youtube : 54) Qu'est ce que le Droit Naturel?

 

 

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