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L'Oeil du Selen
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21 août 2021

L'instrumentalisation d'une science immature au profit des restrictions et du totalitarisme

 

On me reproche régulièrement d'être négatif, d'être obnubilé par cette crise, mais il faut me comprendre : dans la perspective de ce blog, qui n'est qu'un travail d'écriture de mes réflexions les plus profondes sur la nature de l'humanité et des sociétés qu'elle construit, il m'est impossible d'ignorer tout ce que cela dit sur l'homme. Cette crise est un phénomène extrêmement passionnant en même temps qu'absolument terrifiant pour celui qui ose soulever le tapis. Je comprends que ceux qui ne le font pas, que ça ne leur traverse pas l'esprit ou qu'ils aient peur de le faire, puissent être dérangés par tous les squelettes que d'autres peuvent y trouver. Il est alors tentant de les traiter de complotistes ou de les disqualifier par n'importe quels épithètes inspirés par une certaine propagande bien en vogue. Or tous ces phénomènes d'influence sont partie intégrante de la dynamique de la situation, et ils visent à introduire des distorsions dans la communication et dans la perception des phénomènes, en un mot : de la confusion.

 

La confusion, c'est précisément ce que je combats à travers ce blog, dans lequel ma prétention première n'a toujours été que de fouiller dans les tréfonds de l'âme humaine, en déceler les fonctionnements, et en déduire, au fond, des procédés pour l'assainir, guider vers la lucidité et une certaine sérénité d'esprit qui va de pair avec une certaine sagesse. Tandis que beaucoup font le choix de l'ignorance et du plus banal conformisme : se fondre dans une opinion de masse qui serait légitime car majoritaire, et majoritaire car soutenue par « La Science ».

 

Seulement voilà, ce n'est pas aujourd'hui à « La Science » que nous avons à faire mais à une science. À un paradigme scientifique largement éculé qui s'est pris pour la science toute entière, et auquel notre civilisation postmoderne a accordé un véritable statut de religion qui dit quelle est la Vérité à laquelle il faut croire. Qui l'ordonne, même.

 

C'est une science qui refuse le doute, c'est une science qui se croit parfaite et accomplie. Il n'y a qu'à écouter ses zélotes... Une tournure de pensée commune parmi ceux-ci est que « la science est une chose merveilleuse car elle se met toujours à jour, elle se réactualise en permanence »... et par conséquent, elle ne peut jamais avoir tort, puisque même si elle a tort un jour, elle changera d'avis le lendemain.

 

Oui mais... voyez-vous la faute de raisonnement ? Cette science qui avance toujours, qui serait en progrès constant, pour arriver à ce résultat, a précisément besoin de faire des erreurs. Dès lors, en quoi est-il raisonnable de prêter une foi aveugle et absolue à ses conclusions qui, vraies un jour, deviennent fausses le lendemain, et vice versa ?

 

Raoult, perpétuellement moqué, ne s'est pas privé de tancer ses contradicteurs maintes fois, eux qui se sont régulièrement rangés contre lui et ses conclusions – mais surtout contre lui, leur problème était contre la personne, et non contre ses arguments scientifiques, qu'ils ne disqualifiaient que parce qu'ils provenaient de lui, et comme ils provenaient de lui, n'étaient pas en accord avec le dogme du moment – lorsqu'il leur a démontré qu'ils se rangeaient régulièrement, avec six mois de retard, avec la plupart de ses conclusions.

 

Je ne suis pas en train de dire que Raoult est une figure de Vérité Absolue qu'il faut admirer car il ne se tromperait jamais. Tout au contraire, Raoult s'est assez souvent trompé, et c'est parce qu'il avait conscience de sa capacité à produire des erreurs qu'il s'est souvent retenu de faire des prédictions. Raoult est exactement comme cette science : il fait des erreurs, puis se met à jour. Seulement, et cela bien peu ont voulu l'admettre, malgré cela, il avait presque toujours un train d'avance sur ses contradicteurs, ceux-là même qui se gargarisent tant de cette science infaillible en essence, qu'ils n'arrivent pourtant pas à percevoir à l’œuvre dans le travail du célèbre virologue.

 

Ce que je veux dire, c'est que Raoult a été traité exactement comme un mauvais père par une cohorte qui se retrouvait dans un rôle adolescent vis à vis de lui, contestant sa figure d'autorité avec une mauvaise foi qui sautait aux yeux de tout observateur ayant un tant soit peu de recul et de lucidité sur la manière dont les hommes fonctionnent.

 

Et ce fonctionnement est tout à fait à l'image de ce paradigme scientifique qui s'impose à nous : une science adolescente, ou au mieux adulescente, qui fait ses caprices, qui casse les jouets des autres, qui s'exprime par accès de colère et d'autoritarisme, en quête d'elle-même, et qui dans cette quête œdipienne ne rechigne pas à traiter le reste de la société et de la population comme elle-même par projection : en les considérant par défaut comme infantiles et immatures, à dresser, à convaincre par la « pédagogie », ou par l'autoritarisme forcené s'il faut, exactement comme ferait un jeune parent inexpérimenté face à un tout jeune enfant incontrôlable, ou ce qu'il percevrait inconsciemment comme tel.

 

Et désolé si cette image vous évoque Macron... ce n'est certainement pas un hasard si ce père de la nation, sans enfant, en est venu à ce que nous avons vu. Sauf qu'il est éreintant de se sentir adulte et d'être soumis aux caprices d'un adolescent, d'un immature, qui a autorité légale sur nous, alors qu'il est imbu de lui-même et de ce qu'il croit savoir.

 

Et c'est précisément là où je veux en venir aujourd'hui : comment cette science a été instrumentalisée pour servir des objectifs et des politiques qui n'ont absolument rien en commun avec la connaissance, et tout avoir avec le contrôle.

 

 

Doute et mensonges

 

Premièrement, il faut prendre conscience si ce n'est déjà fait, que cette science qui se remettrait perpétuellement en cause, est en fait hermétique au doute, au moins dans sa sphère institutionnelle, pas forcément, certes, chez les chercheurs et les scientifiques eux-mêmes qui, s'ils peuvent avoir leurs biais, sont avant tout utilisés par un système dont les visées ne sont pas scientifiques mais hégémoniques, guidé par des intérêts financiers et de contrôle.

 

C'est ainsi que toute interprétation divergente avec l'histoire qui a besoin d'être racontée sera tue ou combattue. Cf les annexes pour trouver des opinions de médecins contre la dictature actuelle, et voici deux analyses certainement plus objectives de la situation que tout ce qui émane des voies officielles, d'ailleurs tirées des données qui en proviennent :

 

https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/08/17/covid-quelques-chiffres/

 

Sur la vaccination en Israël :

 

https://fr.sott.net/article/37862-La-catastrophe-sanitaire-de-l-injection-Pfizer-en-Israel

 

 

Voies officielles qui n'ont aucun scrupule à répandre des fausses informations pouvant tromper les gens amenés à prendre des décisions concernant la vaccination. Je pense notamment au mensonge comme quoi les phases de test seraient en fait terminées. En annexe vous trouverez des documents officiels sur les études vaccinales en cours, qui comprennent les dates exactes de fin d'études : fin 2022 et jusqu'à mi 2023, selon les produits actuellement autorisés en France. Il faut donc bien insister sur le fait incontestable que toute personne aujourd'hui vaccinée est un bel et bien un cobaye, et nombre de ces cobayes s'ignorent et croient que les « vaccins à ARNm » n'ont rien de nouveau, alors qu'il s'agit bien d'une technologie nouvelle dans le domaine vaccinale, qui s'étend tout juste en ce moment à la grippe et même aux cancers. Non qu'il faille cracher par avance sur des nouvelles technologies porteuses d'espoir, mais lorsque l'on prend connaissance des chiffres des effets secondaires, on est parfaitement légitime à se méfier de ces expérimentations, et donc à les refuser lorsqu'on le peut, voilà tout. Autant pour ceux qui traitent de manière bête et méchante les gens comme moi « d'anti-progrès » ou d'anti-science. Je ne suis pas contre le progrès mais contre le culte du progrès, et pas contre la science, mais contre une science qui est largement dévoyée et instrumentalisée à des fins peu reluisantes.

 

Là où le doute et la prudence devrait prévaloir, on ne trouve que dogmatisme et propagation d e l'ignorance par le mensonge, ce qui est indigne de ce qui se proclame être « La Science ». Une science qui n'admet guère non plus le concept d'inconnaissance, persuadée par son culte du progrès qu'elle pourra un jour tout savoir et tout comprendre, alors que son paradigme même nie tout un pan du réel qui lui demeure inaccessible car impossible à étudier. Et tout en prônant le progrès, elle se condamne en fait ainsi à la stagnation, à l'enfermement dans le domaine indiqué par le paradigme matérialiste. De fait, ce n'est pas un problème pour elle, puisqu'une fois ce paradigme instauré en dogme, il suffit de décréter que rien n'existe en dehors et le tour est joué pour ne pas se remettre en question tout en donnant l'impression que c'est au contraire l'ADN de cette science... Imposture. Obscurantisme moderne.

 

Une science disqualifiée par elle-même et qui déplore la perte de confiance grandissante dans le public, au cours de cette crise mais qui avait commencé avant, et dont on peut parier sans risque de se tromper que la campagne vaccinale sera le clou dans le cercueil. Écoutez par exemple ce vacciné en colère :

 

https://fr.sott.net/article/37874-Un-activiste-pro-vax-recoit-une-replique-cinglante-d-un-citoyen-autrichien-vaccine

 

 

 

Manipulation et totalitarisme

 

Entrons dans le vif du sujet. Au fond ce n'est pas la science, le problème. Tout irait bien si celle-ci restait à sa place, et permettait à l'humanité de progresser dans sa connaissance du monde et dans la maîtrise des techniques qui pourraient augmenter notre bien-être et nous libérer pour des tâches plus intéressantes que la survie. Seulement voilà, la science n'a toujours été utilisée que dans un agenda dont la consanguinité avec l'eugénisme devient de plus en plus criante.

 

J'entends ici eugénisme au sens large : non pas strictement au sens de l'élimination des faibles, mais au sens de l'uniformisation générale, de la destruction des particularismes qui font la richesse de l'humanité, aussi bien aux sens ethnique, physiologique, culturels, artistiques, etc. L'uniformisation qui est visée, et qui nous amène de l'eugénisme vers son descendant, le transhumanisme, conduit à une stérilisation qui conduit à son tour à la destruction. Chaque spécificité contient sa force, son intérêt pour l'espèce, sa chance pour affronter les épreuves de la vie et du monde. Chaque avancée dans l'uniformisation n'est pas un progrès vers une meilleure efficience de l'espèce – vers quel but, d'ailleurs ? – mais une perte de chance pour celle-ci.

 

Ce qui est visé, c'est une humanité monolithique et sans aspérité, d'où serait chassée la criminalité, l'originalité, la spécificité, l'intimité. On ne veut pas voir une tête qui dépasse. Projet illusoire, mais qui a quelques lendemains dans le paradigme sociétal actuel. Illusoire car la spécificité n'est pas quelque chose qui puisse être élimé et gommé, mais quelque chose qui est émergent : quand vous aurez supprimé tous les désignés comme criminels apparaîtra une société qui engendrera sa propre criminalité à force de repousser les limites, et ainsi de suite. À la fin, avec une telle logique, c'est Highlander : il ne pourra en rester qu'un.

 

C'est une logique totalement animale, et totalement inhumaine, et elle naît de cette société immature qui confine la science dans le champ de cette immaturité qui est consubstantielle à une société où tout est organisé et hiérarchisé autour de la consommation, de la logistique jusqu'aux « valeurs ».

 

Pour avancer vers cette fin, il est nécessaire de mettre en place les techniques les plus fines de manipulation de masse, et de les affiner toujours et encore, jusqu'à épuisement du paradigme sociétal dans sa propre anomie par excès de lois, dans sa propre démence par l'excès de la quête de la sanité.

 

C'est pourquoi ce système, ce paradigme, porte en lui-même la graine de sa propre fin. Mais il espère, d'ici là, entraîner le plus grand nombre dans cette chute inévitable à laquelle il demeure aveugle.

 

Ariane Bilheran nous fournit des réflexions fort intéressantes une fois de plus à ce sujet :

 

https://fr.sott.net/article/37745-Les-chroniques-du-totalitarisme

 

 

On sait bien que la publicité est la méthode la plus primaire pour progresser vers des objectifs au sein de ce système. Ici, un cabinet d'avocat attaque des pubs jugées comme mensongères, puisqu'elles promettent une sortie de crise par la vaccination, or si vous avez consulté certaines sources, dont quelques-unes déjà citées dans cet article, vous savez que cette perspective est au mieux hypothétique, et très probablement une illusion. Illusion qu'on n'hésite pas à servir aux masses, puisque l'illusion est le sang, la substance même de ce système qui vend du rêve et de l'espoir :

 

https://association-victimes-coronavirus-france.org/plainte-contre-les-publicites-mensongeres-sur-vaccins-covid19/

 

 

Et tant pis si cette politique se retourne totalement contre nous, contre ceux qui y ont cru, et contre la société toute entière. Il était capital d'y croire, d'essayer au moins. Car ce système n'a que peu d'égards pour ceux qui en subissent les dégâts collatéraux. On savait déjà qu'un mort afghan, rwandais ou vietnamien valait moins qu'un mort occidental. Maintenant il y aura aussi des sous-occidentaux dont la vie ne vaut rien. T'es malade, t'as un cancer ? T'as pas accès à l'hôpital ? T'avais qu'à être vacciné, marche avec nous ou crève ! Les dérives réelles que j'évoque ici se multiplient à l'heure où j'écris, avec des demandes de pass sanitaire même là où c'est illégal... Le collabo aime sentir ses privilèges et les faire sentir, aime croire qu'il est dans le bien, qu'il est dans son bon droit, et pour faciliter son sentiment d'humanité, dénie ce statut d'humain à ceux qui ne se sont pas rangés à son opinion fabriquée de toute pièce par le système.

 

Il est d'ailleurs important de tout verrouiller pour que de moins en moins puissent se forger une personnalité et une vision des choses hors de ce dernier. Par la censure s'il le faut, puis en fermant toutes les options restantes, comme l'Instruction en famille :

 

http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2021/07/02072021Article637608031811819975.aspx

 

De même il faut enfermer encore plus les médecins dans une approche unique, car il y en a encore trop qui défient le système avec leur autonomie de pensée et leurs pratiques bien trop hétérodoxes :

 

https://resistancerepublicaine.com/2021/08/09/il-a-ose-macron-cree-le-conseil-national-de-la-certification-pour-tenir-tous-les-medecins-sous-sa-botte/

 

 

Il faut le champ soit totalement libre à des politiques publiques littéralement dictatoriales, en plus d'être décidées ou guidées par des instances extérieures, privées et non élues, qui ont fait la loi et continuent de la faire dans de nombreux pays occidentaux parmi les plus liberticides au cours de cette crise :

 

Vidéo youtube : Le cabinet McKinsey lié à Macron

 

 

Et n'allez pas imaginer, bande de mécréants, qu'il pourrait y avoir des conflits d'intérêt derrière tout ça...

 

https://planetes360.fr/le-jour-ou-emmanuel-macron-est-devenu-millionnaire-grace-a-pfizer/

 

 

Non, tout est parfaitement clair et honnête. Personne n'est là pour faire du fric ou profiter de la situation pour faire des expérimentations médicales de masse qui ne coûtent rien puisqu'elles rapportent... Tout n'est que pure philanthropie et réponse parfaitement adaptée et proportionnée à tout ce qui se passe.

 

C'est tellement évident qu'il faut quand même vous en convaincre par la « pédagogie » ainsi que les autres méthodes de manipulation de masse devenues standard, habituelles :

 

https://fr.sott.net/article/37865-Eteignez-la-television-La-programmation-neurolinguistique-a-ete-utilisee-contre-les-populations-dans-de-nombreux-pays-et-le-Royaume-Uni-pourrait-etre-aux-commandes

 

https://www.franceculture.fr/emissions/signes-des-temps/le-nudge-et-le-comportementalisme

 

 

Ce système ne se trompe jamais. Par la pédagogie, il répand une vérité indiscutable même si elle change tout le temps. Ce qui se passe dans le temps de cette crise ne fait pas du tout penser à ce qui se passait au Japon à une autre époque...

 

https://www.nippon.com/fr/in-depth/d00735/

 

… ou alors un petit peu quand même. Et il y a sûrement des leçons et des projections à en tirer sur la manière dont tout ça se terminera. A l'époque, le Japon était lui aussi « en guerre »...

 

D'ailleurs, et puisque ce système ne se trompe jamais, il ne tolère pas qu'on se moque de lui :

 

https://leblogalupus.com/2021/08/09/mondialisme-lue-publie-un-memo-urgent-mettant-en-garde-contre-les-dangers-des-memes-satiriques/

 

Et en fait, il ne tolère pas l'humour, pas plus qu'il ne tolère le doute, le recul, la critique. Il faut prendre des gants pour s'adresser à ceux qui s'en réclament :

 

https://anthropo-logiques.org/a-tous-les-gens-raisonnables-et-tres-intelligents-qui-sindignent-devant-ceux-qui-ne-veulent-pas-se-faire-vacciner/

 

Ou bien pourquoi pas, attaquer de front et mettre un coup de pied dans la fourmilière :

 

https://insolentiae.com/interdit-aux-chiens-et-aux-non-vaccines-ledito-de-charles-sannat/

 

En fait, les chiens sont acceptés dans les bars, eux. Bien qu'ils attrapent le virus. On n'en a même trouvé un nouveau chez eux :

 

https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-nouveau-coronavirus-issu-chien-capable-infecter-homme-87547/

 

Mais rassurez-vous, on ne parlera pas de celui-là avant la 8e ou la 17e vague. De toute façon, tous les animaux domestiques sont concernés par les coronavirus depuis « toujours »... Lapins, chats, hamsters, etc. Ne vous laissez pas avoir une fois de plus... Ce qui est décrété « nouveau » par ce système scientiste qui redécouvre sans arrêt le fil à couper le beurre, est sûrement plus vieux que le monde tel que nous le connaissons, la plupart du temps.

 

 

 

Instrumentalisation et fabrication des peurs

 

Et c'est précisément par ici que je voudrais terminer mon raisonnement.

 

Pendant que l'on maltraite les gens, notamment en Australie, l'un des pays les plus furieux dans son délire pseudo-sanitaire (et je ne mentionne même pas les agressions par la police d'adolescentes faisant leur shopping sans masque, la vaccination des enfants dans des stades, les confinements de mégalopoles pour 1 cas...) :

 

https://odysee.com/@TimTruth:b/Melbournetrackingbraceletscamps-1:2

 

Pendant que l'on fait ça, donc, l'hystérie se répand sans donner encore de signe d'épuisement, malgré l'évidence que rien de ce que l'on fait n'est une solution viable sur le long terme. Même si les pays d'Asie ou d'Océanie ont en général mieux géré que nous, ils sont désormais pris dans une spirale sans fin, une escalade des mesures qui pourrait continuer à s'enfoncer jusqu'au noyau de la Terre, si on n'y prenait garde.

 

Prenons le cas de la Thaïlande, qui a commencé à vacciner en avril 2021, et dont les chiffres se passent de commentaire :

 

https://www.worldometers.info/coronavirus/country/thailand/

 

 

Et ce système, on l'a dit, vise in fine le contrôle pour parvenir à un objectif de maîtrise de l'épidémie dans un premier temps, qui devrait déboucher ensuite sur un contrôle social étendu à d'autres prétextes. Sauf qu'il est voué à l'échec.

 

https://francais.rt.com/france/89519-pass-sanitaire-bug-a-empeche-des-pharmacies-de-delivrer-les-qr-codes

 

Imaginez ce monde de contrôle numérique. Imaginez les conséquences des bugs de plus en plus fréquents, des attaques de hacker (le QR code est facilement piratable), et rappelez-vous que, de toute façon, même dans un pays comme la France, il est impossible de se connecter à internet dans bien des zones, ou même de téléphoner à certains moments. Vous pensez vraiment que les radars et les antennes vont pouvoir nous contrôler ? Ce ne sera que cascades d'erreurs techniques, d'erreurs administratives, de détournements de données, d'impossibilités factuelles d'opérer ce système à très grande échelle, qui deviendrait bien trop coûteux en énergie et en ressources, pile au moment où l'étau sur ces choses commence à se resserrer.

 

Et je crois vraiment qu'une bonne partie de ceux qui veulent ce système en sont parfaitement conscients, et le paradoxe de cette démence est que c'est justement parce qu'ils en sont conscients qu'ils veulent précipiter ce système vers la grande réinitialisation, gigantesque procédé relevant largement de la pensée magique issue du transhumanisme, dans lequel l'on croit qu'en précipitant la chute et un essor artificiel, on peut court-circuiter l'élan naturel des choses.

 

Le projet serait vraisemblablement de réduire la consommation d'énergie et de ressources drastiquement, pour augmenter artificiellement l'espérance de vie de ce système dont certains espèrent bien tirer encore fortune pour les décennies à venir, tout en évitant de perdre le contrôle des populations précipitées dans une précarité généralisée, alors que justement leur richesse et leur pouvoir ne sont tirés que de ces populations qui travaillent à leur service. Et puisqu'on ne peut pas les exterminer alors qu'on pense pouvoir les remplacer par des machines (pourtant beaucoup plus énergivores), et bien il faut continuer à les bercer et les hypnotiser dans cette société de consommation. La tentation malthusienne est forcément présente, et il se profile la possibilité de mettre en place un revenu universel pour garder les gens dans un certain contentement et une certaine docilité, dans le même temps qu'on les prive de leur autonomie et de leur libre arbitre. On dit même qu'entasser les gens dans des logements beaucoup plus petits pour économiser l'énergie serait en projet. Continuer d'installer des climatisations partout, mais entasser les gens, un projet de société écologique, cohérent et respectueux de l'humain ?

 

En vérité, l'écologie est devenue l'un des domaines les plus pervertis qui soient par l'instrumentalisation politique et industrielle. Ces derniers ont réellement réussi à faire croire à un grand nombre qu'ils se souciaient de ces choses, alors que la propagande alarmiste sur le climat apparaît de toute évidence comme un énième outil de manipulation des masses.

 

Je l'ai déjà abondamment développé sur ce blog, mais il faut sans doute que je synthétise ici cet argument. Voici donc.

 

En fait, l'homme a toujours voulu maîtriser son environnement, et il a toujours craint l'instabilité, les changements qui lui échappaient. Il suffit de consulter l'histoire, à toutes les époques, au moins depuis l'invention de l'agriculture qui nous faisait dépendre de la production de celle-ci, elle-même dépendant du temps. Au cours du 20e siècle est apparue la rhétorique du changement climatique, d'abord en donnant une perspective en direction d'un âge glaciaire à venir puis, comme cela ne marchait pas, et en s'adaptant aux observations sur le réchauffement du climat, en faisant un virage à 180° degré pour épouser la thèse du réchauffement climatique d'origine anthropique. Ce virage est apparu au moment où il a fallu justifier la fermeture des mines de charbon en Angleterre pour des motifs tout autres que l'écologie... celle-ci ne venant que fournir un prétexte bienséant à la mise au chômage d'une classe de population très difficile à contrôler et très active sur le plan social et syndical.

 

Depuis lors, on a chevauché cette rhétorique comme un cheval de Troie qui a toujours servi à des changements de société et qui a toujours conduit à l'oppression des classes laborieuses. Les gilets jaunes français ont fait écho, en cela, aux mineurs de fond anglais.

 

L'homme des 20e et 21e siècles n'est pas différent de celui des millénaires précédents. Il craint le changement, et il a besoin d'un climat stable pour maintenir son confort. Il était donc simple d'instrumentaliser cette peur. Que le réchauffement soit réellement d'origine humaine est de peu d'importance pour ceux qui tirent les rênes de cette propagande dont la finalité est très certainement de préparer l'humanité actuelle à la fin d'une société basée sur le pétrole, non pour des raisons écologiques, mais parce que cela permet d'obtenir des fonds, en même temps que l'assentiment du public et une image positive, pour organiser la transition dite écologique vers des énergies dites vertes. Tous ceux qui ont étudié ces deux derniers points savent que ce qui se prépare n'est ni vert ni écologique, mais le « greenwashing » du business as usual.

 

Mais c'est ici que nous arrivons à un point beaucoup plus problématique, qui est l'utilisation de la crise du coronavirus pour faire accepter n'importe quoi aux populations.

 

 

Des confinements climatiques

 

Pour une pièce de théâtre, il vous faut 5 actes. Le premier sert à présenter le contexte et les personnages. Ici, le contexte d'un réchauffement climatique catastrophique et « sans précédent » du à l'homme, malgré le faut qu'il suffise de consulter les courbes de température du passé pour s'apercevoir que l'instabilité est la nature même du climat, et que changement climatique est par conséquent un pléonasme.

 

De manière absolument identique au délire épidémique, où l'on nous a servi une mortalité de 0,05% comme cataclysmique, un changement de 1 ou 2 degré nous est présenté comme fatal. Et encore, là aussi les chiffres sont largement exagérés. Le changement observé sur un siècle est de l'ordre d'un demi degré et 30cm d'augmentation du niveau des eaux, quand ce dernier peut naturellement varier de plusieurs centaines de mètres en quelques siècles, lorsque le climat s'emballe réellement. A comparer avec coronavirus versus Ebola ou peste : 30 cm contre 100m.

 

Pour les actes suivants, il faut faire monter l'action en tension. C'est là que nous nous situons :

 

https://fr.sott.net/article/37855-Le-rapport-du-GIEC-et-le-passage-du-Covid-au-climat-ou-comment-la-brigade-de-la-Nouvelle-normalite-nous-prepare-a-un-changement-de-direction

 

Ayant échoué à nous faire assez peur avec le pléonasme du changement climatique, le système essaye maintenant de monter dans les gammes, et tout comme le barnum médical et vaccinal, celui-là aussi ne veut que notre bien. Il est d'ailleurs prêt à nous forcer dans ce sens, exactement comme ce qu'on vient de connaître.

 

Extraits :

 

« Habituellement, lorsqu'un grand changement narratif est imminent, vous pouvez trouver un article clé qui vous dit tout ce que vous devez savoir sur le « plan ». Pour le rapport du GIEC, cet article [publié le 14 août 2021 - NdT] est celui d'Andrew Marr sur iNews, dans lequel il parle littéralement et plusieurs fois de la « transition du Covid au climat » :

« Un grand tournant se prépare, un changement dans les termes du débat politique, une période charnière. Nous sommes dans une période de transition entre les nombreux mois caractérisés par l'obsession du coronavirus et l'automne qui sera dominé, à juste titre, par l'urgence climatique. Mais une grande partie de ce que nous avons appris pendant les événements du Covid-19 — sur l'État, l'autorité, le journalisme et la société civile — est directement applicable à ce qui va suivre. » »

« Andrew Marr titre : « Traitez les gens comme des adultes et ils combattront le changement climatique comme ils ont combattu le Covid-19 », ajoutant [c'est moi qui souligne] :

« La pédagogie fonctionne. Nous nous appuyons sur la science et, en continuant à le faire, nous parviendrons à résoudre les problèmes liés au changement climatique de la même manière que nous avons combattu le coronavirus. » »

Traitez les gens comme des adultes ? N'est-ce pas ironique ? Les gens ont-ils vraiment été traités comme des adultes dans cette crise ? Dans la conclusion de l'émission de France Culture, on peut entendre que le nudge, c'est « le libre arbitre guidé par quelqu'un d'autre que soi ». Si nous sommes des adultes, alors nous sommes des adultes à qui l'on tient la main. Qui plus est, peut-on dire que notre combat contre le virus fut fructueux ? Prometteur pour ce « combat » à venir. Un combat contre le changement. Navrant. Et on nous traite d'anti-progrès. Le progrès n'est-il pas une façon d'épouser le changement, justement ? Laissez-moi rire.

 

Il n'est de toute façon pas question de progrès, mais de restrictions :

 

« Il souligne que les politiciens ont sous-estimé à quel point les populations accepteraient de renoncer à leurs libertés :

« Pour commencer, [les dirigeants occidentaux] craignaient que les électeurs n'acceptent pas de restreindre leurs libertés pour le bien de tous. Dans l'ensemble, ils ont eu tort. [...] Cela a déterminé la réaction des Allemands, des Américains, des Français et des Britanniques — et de bien d'autres encore — et a permis aux sociétés de changer de direction plus rapidement que quiconque n'aurait pu le prévoir. » »

 

Avez-vous compris ? Le moyen de lutter contre le changement climatique, c'est la restriction des libertés. Ou les restrictions de liberté seraient un moyen pour une autre fin que celle de la protection de l'environnement ?

 

Encore quelques passages pour tirer la substantifique moelle de ce propos :

 

« Le message à retenir ici est le suivant : « Hé, les gars, tout cela a bien mieux fonctionné que nous ne le pensions, nous pourrions faire la même chose pour le changement climatique ». »

 

« Les voix de l'establishment ont déjà parlé de « confinement climatique », et le conseiller scientifique britannique Patrick Vallance a écrit, la semaine dernière que [emphases de Sott.net] :

« rien d'autre qu'une transformation de la société ne permettra d'éviter la catastrophe. » »

Une transformation de la société, soit. Bien sûr. Mais à moi il avait semblé qu'il fallait plutôt aller vers la réduction du gaspillage des ressources et de l'énergie, et non vers l'enfermement des gens chez eux... Piéton depuis toujours, je n'ai quasiment pas voyagé, je ne me suis jamais accommodé vraiment de ce monde d'agitation et de déracinement perpétuel. Tout ceci est un vaste débat, mais dans un monde où les marchandises font plusieurs fois le tour du monde en bateau avant de parvenir de l'envoyeur au destinataire, l'urgence et l'évidence me semblent pointer vers l'arrêt, vers le changement de ce système là, plutôt que vers un « confinement climatique ». Mais peut-être que ce concept complètement absurde va déciller ceux qui croyaient à ce « projeeeet » prétendument écologique, qui s'inscrit en fin de compte encore dans le contrôle social, de l'aveu même du GIEC. Formidable. Toutes ces institutions qui veulent notre bien et qui raisonnent en vase clos auront notre perte.

 

Un autre article passe une seconde couche sur le même thème :

 

https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/08/11/decrypter-le-coup-du-passe-sanitaire-et-la-strategie-de-la-caste-mondialisee/

 

« Face à cet essoufflement, une part importante de la caste mondialisée préfère désormais parier sur l’urgence écologique pour justifier les restrictions aux libertés et la reprise en main des opinions publiques. Le Premier Ministre belge l’a d’ailleurs explicitement annoncé. »

 

A vous de lire le reste... J'alerte sur ce sujet depuis des années.


Avec le climat comme avec le reste, l'industrie, qui mobilise et finance toute l'ingénierie de l'opinion, réussit à faire croire que l'on se soucie de l'environnement, là où la vérité est toute autre : on agite les peurs pour modeler cette opinion et faire accepter d'autres changements que ceux du climat... Tant mieux s'il y a des effets collatéraux désirables, comme dirait la pub sur le vaccin, mais tel n'est certainement pas la finalité que l'on constatera.

 

Lorsque l'humain envisage l'environnement, son premier et parfois unique réflexe est d'en considérer la dangerosité pour son propre mode de vie, et non pas pour la vie en général, ni celle des animaux, ni celle des autres humains qui seront laissés sur le carreau de ses politiques :

 

https://fr.sott.net/article/37759-Les-eruptions-volcaniques-de-faible-magnitude-seraient-une-plus-grande-menace-que-les-mega-eruptions

 

Il n'est toujours question que des peurs, qu'il s'agisse du climat, des volcans, des maladies, du terrorisme et j'en passe, et tout est toujours bon pour les orienter afin de faire de l'ingénierie sociale. La vérité toute simple et brutale est que nous craignons de ne pas nous adapter au changement, que cette peur est amplifiée et utilisée, quand bien même il y a du positif dans tout changement... pourvu qu'on sache le saisir. Le craindre ou l'empêcher n'est heureusement pas la seule voie, mais il est vrai qu'en cette période de crise sanitaire, on s'habitue malheureusement aux excès dans ces directions...

 

 

 

Conclusion

 

L'imaginaire moderne se résume aux restrictions.

 

Pouvait-on espérer autre chose d'un système dont les velléités totalitaires étaient à peine cachées ?

 

Dans la période sombre qui s'installe, et dont nous pourrons juger plus tard de la conformité ou de l'originalité en égard aux totalitarismes du passé, il est bon de nourrir au moins son esprit de choses saines. Valable pour le corps aussi.

 

Se repencher sur l'histoire, lire ou relire les grands auteurs qui nous avaient alerté déjà en leur temps. Pas seulement Orwell ou Huxley. Ici, je pense plutôt à des personnalités ayant vécu dans des dictatures ou dans des sociétés gangrenées par la technocratie ou la bureaucratie. Comme Hannah Harendt, Kafka, ou encore Soljenitsyne :

 

https://www.lefigaro.fr/vox/histoire/2018/08/03/31005-20180803ARTFIG00173-relire-soljenitsyne-pour-retrouver-la-source-de-verite-et-du-courage.php

 

L'histoire des révolutions, notamment françaises et russes, comporte son lot d'enseignements aussi, pour peut-être éviter de faire bégayer cette histoire.

 

Mais quoiqu'il en soit, il ressortira de tout cela, et à l'issu de cette nouvelle nuit de l'humanité qu'on espère aussi courte que possible, une renaissance et une régénérescence de nos sociétés. On peut déjà dire que le monde sera moins confortable pour le corps comme pour l'esprit, mais l'âme y sera à son avantage. L'humain y retrouvera un peu de sens, et peut-être même de grandeur d'avoir vaincu et dépassé une époque si vile, si superficielle, si artificielle.

 

En tout cas, tel est mon souhait pour l'humanité, que je connaisse cela de mon vivant ou non, que j'y survive ou non. Car la mort n'est pas un échec, ce n'est qu'un passage, tout comme la vie.

 

 

 

 

 

 

Annexes

 

Documents officiels sur les études vaccinales en cours :

 

https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04368728

 

https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04516746

 

https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04505722

 

https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04470427

 

 

Paroles de médecins qui en ont raz-le-bol et du conseil scientifique indépendant :

 

https://crowdbunker.com/channel/0GEA6I6G

 

Vidéo odysee : Le Dr. Laurent Montesino Réanimateur - à coeur ouvert.

 

 

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/assez-dr-maudrux

 

https://www.francesoir.fr/societe-sante/cest-dur-detre-vaccines-par-des-cons

 

 

Une excellente vidéo sur le conformisme de masse (anglais) :

 

Vidéo youtube : MASS PSYCHOSIS - How an Entire Population Becomes MENTALLY ILL

 

 

Approfondissements sur l'expérience de Milgram :

 

https://fr.sott.net/article/37820-Soumission-a-l-autorite-l-obeissance-n-est-pas-ce-que-Stanley-Milgram-croyait

 

 

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